Par le biais d’un communiqué publié ce lundi 23 juin, elle a annoncé vouloir engager une transformation majeure de ses outils numériques. À commencer par le remplacement progressif de ses logiciels Microsoft par d’autres alternatives, comme OnlyOffice, Linux ou encore PostgreSQL.
De plus, avec le Syndicat Intercommunal des Technologies de l’Information pour les Villes (SITIV) et la Métropole de Lyon, la municipalité a développé la suite Territoire Numérique Ouvert, permettant de faire des visioconférences.
Tout cela dans le but de renforcer la souveraineté numérique du service public et de prolonger la durée de vie des équipements informatiques en réduisant leur emprunte carbone.
"Nous sommes fiers d’inscrire la Ville de Lyon dans une trajectoire de souveraineté numérique"
"Nous sommes fiers d’inscrire la Ville de Lyon dans une trajectoire de souveraineté numérique, dont l’élection de Donald Trump a rappelé l’importance. Malgré les difficultés, nous démontrons que de tels projets sont réalisables. Nous souhaitons ainsi protéger les données des habitants et habitantes et favoriser l’économie locale", a déclaré Bertrand Maes, adjoint au maire de Lyon en charge de la politique numérique.
Ces deux projets vont ainsi pouvoir faire changer de dimension numérique la Ville de Lyon, en devenant plus autonome.
Il a raison, bon courage pour changer les habitudes d'employés qui ont passé 20ans sur le même logiciel.
Signaler Répondrele pire est a craindre ; en général les transitions informatiques pilotées par des administrations (locales ou nationales ) se terminent toujours par des désastres techniques et financiers ...
Signaler RépondreC'est le logiciel des élus qu'il faut changer, car ça beugue dans leur tête depuis 2020 et ça nous coûte cher.
Signaler RépondreIl vont être moins fiers quand ça va planter et que 520 000 habitants n'auront plus droit aux services publics ;-)
Signaler RépondreCar avec les pastèques ça va être d'un coup le basculement sans débug préalable, comme ils font avec "tout le reste", surtout la circulation !
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Sinon réduire leur empreinte (emprunte dans l'article) carbone ce n'est pas vrai ! Ça fait toujours tourner autant de serveurs qui est la grosse majorité de la consommation... Ces escrolos essaient toujours toujours de se mettre en avant pour des choses qui n'existent pas.
Il semble que vous ayez des a priori qui datent sur les suites open source
Signaler RépondreOn va écrire "empreinte" et ne me remerciez pas, surtout, jeune scarabée
Signaler RépondreCerte, on fait pas d omelette sans casser des oeufs cependant d autres administrations ont deja franchi le pas comme la gendarmerie, des pays comme le Danemark. A contrario notre gouvernement libéral souhaite confier nos données de santé au cloud Microsoft alors que beaucoup d experts alertent sur le risque de pertes de souveraineté et aussi de savoir faire .
Signaler RépondreJe croyais que pour OnlyOffice c'était le cas depuis longtemps.
Signaler RépondreEt l anglais aussi ..
Signaler RépondreSeul et fier
Au-delà de l'aspect "souveraineté" (encore faut-il savoir où les données seront hébergées et par quoi elles seront protégées) je pense qu'il s'agit avant tout d'un choix économique... Quand on voit le coût la licence annuelle "Office 360" multipliée par le nombre de postes utilisateurs, ça doit piquer.
Signaler RépondreMaintenant reste à voir si le passage d'une suite à une autre ne va pas mettre la pagaille dans les fichiers car tout n'est pas compatible à 100%... On en reparle dans 1 an...
C'est pas avec la droite que cette bonne nouvelle serait arrivée. Super
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