Les faits remontent au 28 mai lorsqu’un homme a été interpellé à la suite de l’agression d’une jeune femme tout juste majeure à la gare de Villefranche-sur-Saône. Bouteille à la main, ce dernier avait déclaré aux policiers municipaux sur le parvis avoir été giflé par une femme.
Ce jeudi 24 juillet, l’accusé, âgé de 36 ans et originaire de Limas, était jugé en comparution immédiate.
Alcoolisé lors des faits, il se serait frotté à sa victime et aurait procédé à des attouchements.
L’avocate du prévenu a demandé la relaxe de son client après avoir pointé les propos contradictoires des témoins et avoir constaté l’absence d’images de vidéosurveillance sur les faits reprochés.
Le tribunal l’a finalement déclaré coupable et l’a condamné à un an de prison, dont six mois ferme et obligation de se soigner, trouver un travail ou une formation. Il a également l’interdiction de contact avec la victime et devra lui verser des dommages et intérêts à hauteur de 800 euros.
A l'issue de l'audience, il a été maintenu en détention.
la cravate c'est autour du cou, pas dans la braguette.
Signaler Répondrehumour...
Signaler RépondreEt fait baver les crapauds 🐸 comme vous lol.
Signaler Répondreil semble les avoir plutot raides ,ce qui lui travaille le cuir!
Signaler RépondrePas la peine de le mettre en prison, surtout qu'il n'y a pas de place.
Signaler RépondreIl suffit de le castrer...
Faut lui briser les jambes à cette C molles
Signaler RépondreEncore une publication pour faire passer la gente masculine à cause d’une infime minorité de frotteurs pour des violeurs , pedophiles etc….
Signaler Répondrese touche...
Signaler Répondre"avoir constaté l’absence d’images de vidéosurveillance", les gros cons vont encore nous dire que ça ne sert à rien pour en fait ne pas inquiéter leurs électeurs.
Signaler RépondreLa question c'est surtout la compétence des juges!
Signaler RépondreDans ce cas précis 6 mois fermes
Et regarde la peine de cette raclure qui a agressé l'infirmière!
“Attouchement… et l’avocat demande la relaxe ? La blague ! Et pourquoi pas un séjour à l’étranger payé par l’État pendant qu’on y est, pour s’excuser de l’avoir dérangé ? On renverse les rôles : la victime est oubliée, et le coupable devient presque une pauvre victime du système…”
Signaler Répondre