Lancé en juin dernier, le service fluvial Navigône continue de séduire les Lyonnais. En quelques mois, près de 120 000 voyageurs ont profité de cette nouvelle offre de transport entre Vaise et Confluence. Un succès que confirme Geoffrey Dufour, chef de service et directeur de projet au Sytral : "Le service fonctionne très bien. Il est très plébiscité, avec beaucoup de voyages cet été, et une fréquentation qui se renouvelle depuis la rentrée".
Mais le Navigône ne compte pas s’arrêter là. Le Sytral prépare déjà la prochaine étape de son développement, marquée par l’arrivée des catamarans 100 % électriques. Ces nouveaux bateaux, baptisés Le Gone et La Fenotte, sont entrés en service cet automne. Deux autres unités viendront compléter la flotte d’ici le printemps 2026, pour atteindre un total de quatre bateaux.

Cela “s'inscrit dans le dispositif de transition énergétique de la métropole de Lyon”, a indiqué le président de la métropole de Lyon et de SYTRAL Mobilités.
"L'objectif pour la suite, c'est de mettre en service les bateaux électriques qui viennent d'arriver sur Lyon, mais aussi que les bateaux circulent avec des haltes entièrement finalisées en termes de travaux et d’aménagements", a expliqué Geoffroy Dufour. À terme, la fréquence des traversées sera doublée, passant de 30 à 15 minutes en heure de pointe et de 60 à 30 minutes en heure creuse : "C’est vraiment l’arrivée de la totalité de la flotte qui permettra d’améliorer la fréquence".
Ces catamarans nouvelle génération marquent un tournant écologique pour la mobilité fluviale lyonnaise. D’un coût de 4,2 millions d’euros par unité, ils pourront accueillir jusqu’à 90 passagers. Entièrement silencieux et sans émissions directes, ils offrent une navigation très “confortable”, selon le capitaine d’armement Sergio Calderon. Le Sytral vise à terme 560 000 voyages annuels une fois le service pleinement déployé.
À bord, les équipes apprécient aussi cette modernisation. Le capitaine a souligné le “bien-être” pour tous : "Le confort, c’est autant pour les usagers que pour les membres d’équipage. Avoir un matelot, c’est plus de sécurité et de sérénité".

Autre révolution, celle du silence : "À l’oreille, c’est parlant : quand on met les moteurs en route, on n’entend rien, c’est presque déroutant", a-t-il confié. "C’est plus agréable pour les passagers, et grâce aux moniteurs, on peut adapter notre conduite pour optimiser l’énergie".
Le Navigône semble donc être une ligne qui pourrait bien devenir, à terme, l’un des symboles de la mobilité durable à la lyonnaise.
Navigône??? Mais ça veut dire quoi??? A Lyon c est les gones pas les gônes.
Signaler Répondrepas tout le tube !
Signaler RépondreQuestion barre,manque raymond,pas mal non plus celui-là avec un compte en banque privé à genève,à propos de genève,le poul'ain scatollin d'e.blanc,mairede divonne les bains circule en "bm" immatriculée à genève et parkée devant la mairie de cette même commune en "géssie"...à fuir!
Signaler Répondreblanc.e a échoué à lyon,comme la galère wauquiez,le fou du puy du puy du fou...à fuir.
En cette période post électorale,les eaux troubles lyonnaises sont polluées par le" bar a thym" trop de thymp-thymp tamare pour larguer les amarres,y'en a marre de ces farceurs(euses) qui n'ont qu'un seul but,se farcir une fois à bord de cette galère,etienne blanc adore tenir la barre,"lowau",le bar.
Signaler RépondrePS:lowau veut dire laurent wauquiez
la réponse est dans votre pseudo :-)
Signaler RépondrePourquoi l’électricité ne fait bon ménage avec l’eau ?
Signaler RépondreC’est juste le résultat des yakafokon de tous les partis, qui ont hurlé au scandale quand la société privée des Yachts de Lyon a menacé d’arrêter le vaporetto, et ont exigé en cœur que la métropole reprenne le service.
Signaler RépondreLes bateaux des Yachts de Lyon étaient insuffisants pour assurer le circuit et en plus pourris jusqu’à la moelle. Donc reprendre le service (ce que *tous* les partis de Lyon ont exigé) ça a toujours voulu dire acheter de nouveaux bateaux avec l’argent du contribuable. Oui ça coûte cher d’acheter des bateaux capables d’assurer ce type de navette, c’est bien pour cela que les Yachts de Lyon voulaient absolument se débarrasser du vaporetto avant de devoir le changer. Lyon continue de payer la Darse et la construction de Confluences avec des transports en commun insuffisants sous Collomb.
Au moins ceux-ci ont l’air conçus de manière à peu près compétente, en catamaran comme les ferrys de débarquement de l’armée ou les ferrys civils qu’on retrouve dans des grandes villes comme Istanbul. On a échappé au bidule expérimental hors de prix type Navya. Relisez les archives, il y avait beaucoup de monde qui voulait que le contribuable lyonnais finance la mise au point de machins flottants improbables.
4 bateaux a 4,2 patates pièce , comme disait ma grand mère : ca ne se trouve pas sous les sabots d'un cheval ....
Signaler Répondrel’électricité ne fait pas bon ménage avec l'eau ! le fond d'un bateau est toujours humide et ça ne s'arrange pas avec le temps (aux deux sens du terme !).
Signaler RépondreEnfin l'avenir ! En rêvant avec des bateaux aux moteurs puissant, sans doute il y aura un jour des navettes de Villefranche/Lyon/Vienne A/R.
Signaler RépondreConnaissant les écolos, le pire est toujours certain!
Signaler RépondreFinancement public, profits pour des copains, investissements pour le contribuables...rien de neuf en France
Signaler RépondreLes Lyonnais subventionnent les touristes, alors que ça devrait être l'inverse.
Signaler RépondreC'est un bide complet ! Et après ils nous expliquent qu'ils n'ont pas assez d'argent.
Signaler RépondreEn 2026, il faudra faire un audit financier complet de ce truc aussi coûteux qu'inutile.
Les écolos se sont payé leur caprice. Avec de l'argent public évidemment...
Signaler RépondreEt sinon, quel est le coût exact par passager ? Les lyonnais ont le droit de savoir.
1 : Le matin les navettes sont vides donc il n'y a que du transport touristique 'gratuit'. C'est donc une gabegie
Signaler Répondre2 : Dés qu'il y a un peu de pluie les navettes s'arretent, pouratnt elles passent largement sous les ponts et le débit de la saone en crue n''a rien d'exceptionnel De plus entre les bateaux à acheter et entretenir et les 2 personnes par bateau pour les faire avancer cette lubie écologauchisante coute un bras à la collectivité. Même à Paris ils n'ont paspser le faire
Que les métros, bus et trams tombent panne et s'arrêtent c'est une chose, sur l'eau c'est plus problématique surtout quand il y a un fort courant, on peut descendre aussi mais... ;-)
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