"Je connais suffisamment bien Ségolène Royal pour savoir qu'elle n'a pas
pu avoir ce type de raisonnement, car je connais ses convictions
profondes en la matière. Donc je n'ai pas envie d'en rajouter", a-t-elle déclarée. Et
l’ancienne adjointe lyonnais a rappelé sa volonté de mener son travail à
terme : "J’ai l’immense fierté d’être ministre de la République,
d’avoir des chantiers éminemment importants avec les Droits des Femmes
en particularité, (…) donc je me concentre tellement sur ma mission que
je n’ai pas le temps de pense au reste !"