Grenoble, Strasbourg, Bordeaux : les élus écologistes de Lyon sont-ils à part ?

Grenoble, Strasbourg, Bordeaux : les élus écologistes de Lyon sont-ils à part ?
LyonMag

L'an dernier, LyonMag réalisait un dossier intitulé "Les écolos de Lyon en mission divine ? Ils répondent".

A cette occasion, la rédaction avait questionné des élus d'opposition d'autres villes de France gérées par les écologistes afin de savoir si Grégory Doucet et Bruno Bernard étaient des dirigeants à part. Ou s'ils étaient finalement des Verts comme les autres.

Grenoble : "Ils ne discutent pas du fond, mais de la couleur d’un banc"

Grenoble, c’est le patient zéro, la première ville qui a cédé aux sirènes écologistes. Éric Piolle a-t-il convaincu la majorité de ses administrés que ses actions étaient les meilleures, ou bien ceux qui ne pensaient pas comme lui, avaient-ils fui la ville depuis longtemps ? Toujours est-il que le maire a enchaîné très facilement un second mandat en 2020.

Mais selon Émilie Chalas, élue d’opposition LREM, "il est de plus en plus dur dans sa relation à l’opposition et ses détracteurs. On a un maire de plus en plus braqué, sûr de lui et inscrit dans des certitudes. Tout ce qui est tradition et usage de bonne collaboration avec l’opposition, est balayé d’un revers de la main".

Chez les écologistes, la participation citoyenne a une part importante dans leur programme, mais "dans la réalité ça ne se passe pas comme ça", assure celle qui est aussi députée. "Le budget participatif, c’est 800 000 euros par an et la plupart des projets qui sont retenus, sont dérisoires au lieu de poser les vrais sujets. Par exemple, la municipalité a décidé de piétonniser trois rues du centre-ville et elle a seulement consulté pour savoir ce qu’on mettait comme aménagements. Les Verts ne discutent pas du fond, ils discutent de la couleur du banc", ce qui rappelle vaguement la piétonnisation du Cours Charlemagne à Lyon.

"Ce qui est dingue, c’est qu’ils sont capables de gagner des prix sur la participation citoyenne tellement ils le plaident bien", s’étonne Émilie Chalas.

Bordeaux : "Ils décident par en haut, comme avant, comme la droite"

Bordeaux, c’est probablement la ville où la victoire des Verts choque le moins vu de l’extérieur. De plus en plus qualifiée de repaire de bobos et de Parisiens expatriés, la cité girondine a offert le siège de maire à Pierre Hurmic. Opposant historique d’Alain Juppé, il a su ronger son frein durant deux décennies pour faire tomber ce bastion de droite.

Pour autant, Philippe Poutou, conseiller municipal du Nouveau Parti Anticapitaliste à Bordeaux, pointe du doigt l’inaction de la nouvelle majorité : "Il y a un vrai manque de conviction, qui va avec un manque de courage. Il ne se passe rien de concret. Les élus ont changé, le discours a un peu évolué, mais la réalité politique ne change pas. On le regrette et ça peut poser de gros problèmes très rapidement".

Sur la forme, le candidat à l’élection présidentielle va même encore plus loin. Selon lui, les élus écologistes "ne cherchent pas de point d’appui dans le mouvement social". "Ils pourraient chercher à s’appuyer sur le milieu associatif, sur les quartiers populaires, mais finalement ils décident par en haut, comme avant, comme la droite. Ça les met dans l’incapacité de changer les choses. Du coup, on a des doutes sur leurs propres convictions", conclut Philippe Poutou.

Strasbourg : "Si on les critique, on est tout de suite des conservateurs, des rétrogrades, des pollueurs..."

Strasbourg, carrefour de l’Europe, à la végétalisation déjà pré- sente et propice à la pratique du vélo, a aussi fait confiance aux écologistes pour guider la ville durant les cinq prochaines années. Jeanne Barseghian avait connu l’opposition à la mairie et à la Métropole durant le mandat précédent. De par la proximité géographique, et du fait que son compagnon est allemand, elle rêve d’appliquer la méthode des Grünen, les Verts germaniques. C’est-à-dire de consulter et même travailler davantage avec les autres partis, ainsi qu’avec le monde économique.

Mais dans la pratique, la consultation n’a pas l’air d’être le point fort de la majorité écologiste strasbourgeoise : "On a l’impression que tous les circuits habituels de la démocratie ou de l’expression citoyenne, ont été mis en sommeil et confisqués. Pour la première fois, depuis une éternité, on a des conseils municipaux qui sont annulés. Certaines commissions ne se sont jamais réunies. Sur les grandes décisions, il n’y a jamais de consultation de l’ensemble des forces. Ils n’écoutent rien", explique Pierre Jakubowicz, élu Agir à Strasbourg.

"Ils manquent d’un véritable sens démocratique et d’humilité. Ils développent en permanence des méthodes de décrédibilisation. Si on les critique, on est tout de suite des conservateurs, des rétrogrades, des pollueurs...", conclut celui qui a grandi à Lyon.

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Une chose est sur le 13/03/2022 à 14:37

Leurs comportements municipal aux 3 a bien nique le mouvement national . Ce sont les brillants acteurs de la future branlee de Jadot. Il va y avoir des explications , après....

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Roussolagrande le 13/03/2022 à 14:16
Cendrine Rousso a écrit le 13/03/2022 à 11h35

Un article scandaleux et orienté a charge contre nos élus écologistes qui se dévouent pour le bien commun.
Toutes les orientations de financement de l’économie et l’investissement et dédié pour la transition écologique. Ceci passe par la mobilisation des MILLIONS gérés par la sphère publique et parapublique (institutions financières, caisses de retraite…) en l’orientant vers des activités 100% durables à horizon 5 ans. En parallèle, l’épargne des particuliers doit être orientée vers des placements durables via l’intégration d’au moins 25% de produits durables dans les gammes et une taxation des produits ne respectant pas des standards minimaux.
Enfin, le financement en capital ou en dette des entreprises intervenant dans les secteurs du charbon et du pétrole/gaz non conventionnels doit être interdit à moyen-terme afin d’accélérer la transition énergétique.
Il ne manque plus qu’une volonté politique forte pour engager ET C'EST CE QUE NOUS FAISONS au quotidien : la réduction de l’utilisation de l’énergie, la sécurisation de l’équilibre du réseau, la création d’une filière de recyclage des équipements en fin de vie et la prise en compte des impacts des énergies renouvelables (EnR) sur la biodiversité. Il est grand temps de préserver l’énergie comme notre bien commun afin d’empêcher sa privatisation, de permettre sa transition et d’assurer une égalité d’accès à celle-ci. La transition énergétique ne doit pas conduire à une division entre des citoyen·nes qui investissent dans les EnR (notamment via des déductions d’impôts) et deviennent producteur·trices et d’autres qui se retrouvent consommateur·trices captifs. Fixons un nouveau cap politique, pour une transition énergétique plus juste socialement et donc réellement écologique.

Oui, les temps changent ! Pour un futur possible, pour la planète et le vivant et pour nos chers bambins

Et l économie dans tout ça ? Ya pas que les vélos, , les fresques, les bac à compost...C’est pas ça qui va donner de l’argent aux commerçants asphyxiés par les élucubrations d’un maire déjà à la dérive, qui va rendre le climat plus sécurisé dans les rues. Et puis ces aménagements dénués de bon sens ( ex quai Bernard) qui provoque des bouchons matins et soirs et de facto de la pollution. Car oui, Cendrine Rousso (allusion à l’autre folle sans doute) bouchons égal pollution....
Vivement 2026 qu’on dégage toute cette clique.

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LE CID le 13/03/2022 à 14:16

Finalement ce forum fait office de consultation psychiatrique, cela permet qu'un " opposant haineux" prenne un coup de sang et effectue un acte deraisonné et déraisonnable à l'encontre d'un individu de couleur verte, merci lyonmag.

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Dr houip le 13/03/2022 à 14:10

À Lyon ils ont plus de puissance verte que partout ailleurs !!! Ces héros sauvent les planète grâce aux bac à compost, aux vélos, aux éoliennes, et à l'inclusion degenré...C'est le futur de l'humanité !!!

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flavor le 13/03/2022 à 14:04

A lyon nous avons Poutinedoucet qui ne connait pas grand chose en politique et developpement et melange sa frustation et le rayonnement de Lyon

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Le Cid le 13/03/2022 à 14:01
Cendrine Rousso a écrit le 13/03/2022 à 11h35

Un article scandaleux et orienté a charge contre nos élus écologistes qui se dévouent pour le bien commun.
Toutes les orientations de financement de l’économie et l’investissement et dédié pour la transition écologique. Ceci passe par la mobilisation des MILLIONS gérés par la sphère publique et parapublique (institutions financières, caisses de retraite…) en l’orientant vers des activités 100% durables à horizon 5 ans. En parallèle, l’épargne des particuliers doit être orientée vers des placements durables via l’intégration d’au moins 25% de produits durables dans les gammes et une taxation des produits ne respectant pas des standards minimaux.
Enfin, le financement en capital ou en dette des entreprises intervenant dans les secteurs du charbon et du pétrole/gaz non conventionnels doit être interdit à moyen-terme afin d’accélérer la transition énergétique.
Il ne manque plus qu’une volonté politique forte pour engager ET C'EST CE QUE NOUS FAISONS au quotidien : la réduction de l’utilisation de l’énergie, la sécurisation de l’équilibre du réseau, la création d’une filière de recyclage des équipements en fin de vie et la prise en compte des impacts des énergies renouvelables (EnR) sur la biodiversité. Il est grand temps de préserver l’énergie comme notre bien commun afin d’empêcher sa privatisation, de permettre sa transition et d’assurer une égalité d’accès à celle-ci. La transition énergétique ne doit pas conduire à une division entre des citoyen·nes qui investissent dans les EnR (notamment via des déductions d’impôts) et deviennent producteur·trices et d’autres qui se retrouvent consommateur·trices captifs. Fixons un nouveau cap politique, pour une transition énergétique plus juste socialement et donc réellement écologique.

Oui, les temps changent ! Pour un futur possible, pour la planète et le vivant et pour nos chers bambins

Mon pognon je le place en action bayer et total, l 'écologie à ses limites.

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avant d attendre les elections le 13/03/2022 à 13:41
Jacquot 37 a écrit le 13/03/2022 à 11h36

Ils sont pires que les autres !!! vivement le prochaines élections municipales !!!!!!!!!! oh oui ! Tous les lyonnais en ont marre !!!

faudrait plutot pratiquer à leur endroit un exorcisme

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Chanceux lyonnais le 13/03/2022 à 13:40

On a. De la chance à lyon : c’est un concentré de tous les maires écolos. Enfin surtout une compil de leur défauts et travers !

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bin oui,on vous le disait!! le 13/03/2022 à 13:38
Guss a écrit le 13/03/2022 à 13h16

Un commentaire scandaleux, orienté et aveuglé par un dogmatisme bien appris et qui ne conduit qu’à des décisions nuisibles à la vie de lyonnais.
Inaction face à la délinquance , création de bouchons , aménagements en dépit du bon sens…
Les verts vivent dans leur clan … ils orientent l argent vers leurs amis .. Aucune décision structurante pour la ville n’a été prise depuis deux ans.
Leur incompétence saute aux yeux de la France entière, en témoigne la claque attendue pour Jadot dans 30 jours tellement les gens ont pris conscience de leur nullité et corporatisme.
Bref c’est du zéro pointé.
Vivement les prochaines élections et un bon coup de pied au cul.

que c etait une secte!!

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Yo le 13/03/2022 à 13:36

Comment des ados à peine puberts on pu se présenter aux élections ?

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Le climat c'est bien. le 13/03/2022 à 13:18

Le climat, c'est bien.

Mais si on ne peut plus sortir de chez soi pour cause de délinquance endémique, à quoi bon s'en soucier ?

Merci Monsieur Doucet de laisser la place des États-Unis prendre le même chemin que la Guillotière.

Et ça, cela se sera fait entièrement fait sous votre mandat.

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Guss le 13/03/2022 à 13:16
Cendrine Rousso a écrit le 13/03/2022 à 11h35

Un article scandaleux et orienté a charge contre nos élus écologistes qui se dévouent pour le bien commun.
Toutes les orientations de financement de l’économie et l’investissement et dédié pour la transition écologique. Ceci passe par la mobilisation des MILLIONS gérés par la sphère publique et parapublique (institutions financières, caisses de retraite…) en l’orientant vers des activités 100% durables à horizon 5 ans. En parallèle, l’épargne des particuliers doit être orientée vers des placements durables via l’intégration d’au moins 25% de produits durables dans les gammes et une taxation des produits ne respectant pas des standards minimaux.
Enfin, le financement en capital ou en dette des entreprises intervenant dans les secteurs du charbon et du pétrole/gaz non conventionnels doit être interdit à moyen-terme afin d’accélérer la transition énergétique.
Il ne manque plus qu’une volonté politique forte pour engager ET C'EST CE QUE NOUS FAISONS au quotidien : la réduction de l’utilisation de l’énergie, la sécurisation de l’équilibre du réseau, la création d’une filière de recyclage des équipements en fin de vie et la prise en compte des impacts des énergies renouvelables (EnR) sur la biodiversité. Il est grand temps de préserver l’énergie comme notre bien commun afin d’empêcher sa privatisation, de permettre sa transition et d’assurer une égalité d’accès à celle-ci. La transition énergétique ne doit pas conduire à une division entre des citoyen·nes qui investissent dans les EnR (notamment via des déductions d’impôts) et deviennent producteur·trices et d’autres qui se retrouvent consommateur·trices captifs. Fixons un nouveau cap politique, pour une transition énergétique plus juste socialement et donc réellement écologique.

Oui, les temps changent ! Pour un futur possible, pour la planète et le vivant et pour nos chers bambins

Un commentaire scandaleux, orienté et aveuglé par un dogmatisme bien appris et qui ne conduit qu’à des décisions nuisibles à la vie de lyonnais.
Inaction face à la délinquance , création de bouchons , aménagements en dépit du bon sens…
Les verts vivent dans leur clan … ils orientent l argent vers leurs amis .. Aucune décision structurante pour la ville n’a été prise depuis deux ans.
Leur incompétence saute aux yeux de la France entière, en témoigne la claque attendue pour Jadot dans 30 jours tellement les gens ont pris conscience de leur nullité et corporatisme.
Bref c’est du zéro pointé.
Vivement les prochaines élections et un bon coup de pied au cul.

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La menace pour notre futur le 13/03/2022 à 13:00

Des énergumènes comme Doucet et Bernard sont fondamentalement aussi autocrates que Poutine, mais les institutions nous préservent encore de leur volonté hégémonique. Il faut être vigilant, ces types qui font passer leur mission divine avant tout au nom du bien commun (selon leur vision !) sont extrêmement dangereux pour la démocratie.

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Patou65 le 13/03/2022 à 13:00

Tout cela sera bien dérisoire dans 2 ans, voire l'année prochaine ou même fin 2022, quand nous serons plongés dans l'horreur de la 3eme guerre mondiale qui a déjà commencé en Ukraine, et nous aurons bien d'autres préoccupations à ce moment-là : rester en vie, survivre et trouver à manger.

Alors les arbres ...

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En gros le 13/03/2022 à 12:24

Tous les mêmes donc.

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kikou le 13/03/2022 à 12:22
Cendrine Rousso a écrit le 13/03/2022 à 11h35

Un article scandaleux et orienté a charge contre nos élus écologistes qui se dévouent pour le bien commun.
Toutes les orientations de financement de l’économie et l’investissement et dédié pour la transition écologique. Ceci passe par la mobilisation des MILLIONS gérés par la sphère publique et parapublique (institutions financières, caisses de retraite…) en l’orientant vers des activités 100% durables à horizon 5 ans. En parallèle, l’épargne des particuliers doit être orientée vers des placements durables via l’intégration d’au moins 25% de produits durables dans les gammes et une taxation des produits ne respectant pas des standards minimaux.
Enfin, le financement en capital ou en dette des entreprises intervenant dans les secteurs du charbon et du pétrole/gaz non conventionnels doit être interdit à moyen-terme afin d’accélérer la transition énergétique.
Il ne manque plus qu’une volonté politique forte pour engager ET C'EST CE QUE NOUS FAISONS au quotidien : la réduction de l’utilisation de l’énergie, la sécurisation de l’équilibre du réseau, la création d’une filière de recyclage des équipements en fin de vie et la prise en compte des impacts des énergies renouvelables (EnR) sur la biodiversité. Il est grand temps de préserver l’énergie comme notre bien commun afin d’empêcher sa privatisation, de permettre sa transition et d’assurer une égalité d’accès à celle-ci. La transition énergétique ne doit pas conduire à une division entre des citoyen·nes qui investissent dans les EnR (notamment via des déductions d’impôts) et deviennent producteur·trices et d’autres qui se retrouvent consommateur·trices captifs. Fixons un nouveau cap politique, pour une transition énergétique plus juste socialement et donc réellement écologique.

Oui, les temps changent ! Pour un futur possible, pour la planète et le vivant et pour nos chers bambins

Qu'est-ce que tu penses de le guerre russo ukrainienne ? Tu me fais bidonner avec tes manigances pseudo écologistes § Vous les verts vous êtes la chienlit de la France, vous ne gouvernez pas , vous ordonnez.

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Tranquillou bidou le 13/03/2022 à 12:12

La vérité éclate enfin : ils ne servent à rien.

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Ecolo mais de gauche, pas comme EELV le 13/03/2022 à 12:11

Ils se complaisent dans l’entre soi, une sorte de consanguinité stérile socialement et intellectuellement. Tu écoutes leurs zélecteurs, pareil, ça vole pas haut : ils apprennent jamais rien vu qu’ils sont persuadés qu’ils savent déjà tout. C’est leur culture de classe héritière. Le mépris et l’autosatisfaction font partie du bénéfice à voter écolo quand t’es inculte. Et aussi, tu peux continuer à spéculer et exclure, exploiter les livreurs Uber, etc. tout en ayant bonne conscience et en donnant des leçons. Toujours moins de mixité sociale intra muros, toujours plus d’entre soi et de pensée circulaire. Bref, le kiff !

PS au fanclub de Grégory Doucet et Bruno Bernard : je dis ça parce je suis un gros macho fumeur, obèse répugnant, fasciste au volant d’un SUV, téléguidé par le gouvernement.

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Je m'arrête au pseudo. le 13/03/2022 à 12:05
Vlad Tepes a écrit le 13/03/2022 à 11h51

Tu es à gerber

Je ne lis même plus cette personne.

C'est du "Electeur EELV" en plus laborieux et en beaucoup moins bon pour la dérision.

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Ex Précisions le 13/03/2022 à 11:57

Les écolos de Lyon en mission divine, c'est exactement cela, ils vivent dans une secte...
Et leurs actions c'est, on fait tête baissée, et on regarde après si ça marche.

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Vlad Tepes le 13/03/2022 à 11:51
Cendrine Rousso a écrit le 13/03/2022 à 11h35

Un article scandaleux et orienté a charge contre nos élus écologistes qui se dévouent pour le bien commun.
Toutes les orientations de financement de l’économie et l’investissement et dédié pour la transition écologique. Ceci passe par la mobilisation des MILLIONS gérés par la sphère publique et parapublique (institutions financières, caisses de retraite…) en l’orientant vers des activités 100% durables à horizon 5 ans. En parallèle, l’épargne des particuliers doit être orientée vers des placements durables via l’intégration d’au moins 25% de produits durables dans les gammes et une taxation des produits ne respectant pas des standards minimaux.
Enfin, le financement en capital ou en dette des entreprises intervenant dans les secteurs du charbon et du pétrole/gaz non conventionnels doit être interdit à moyen-terme afin d’accélérer la transition énergétique.
Il ne manque plus qu’une volonté politique forte pour engager ET C'EST CE QUE NOUS FAISONS au quotidien : la réduction de l’utilisation de l’énergie, la sécurisation de l’équilibre du réseau, la création d’une filière de recyclage des équipements en fin de vie et la prise en compte des impacts des énergies renouvelables (EnR) sur la biodiversité. Il est grand temps de préserver l’énergie comme notre bien commun afin d’empêcher sa privatisation, de permettre sa transition et d’assurer une égalité d’accès à celle-ci. La transition énergétique ne doit pas conduire à une division entre des citoyen·nes qui investissent dans les EnR (notamment via des déductions d’impôts) et deviennent producteur·trices et d’autres qui se retrouvent consommateur·trices captifs. Fixons un nouveau cap politique, pour une transition énergétique plus juste socialement et donc réellement écologique.

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Tu es à gerber

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ils font flipper le 13/03/2022 à 11:50

C'est ouf, j'ai l'impression de lire des doléances de Philippe Cochet ou Gérard Collomb. On retrouve exactement les mêmes problèmes ici que là-bas : ils foutent rien, n'écoutent personne.
Il me semble que Doucet avait révélé être dans un groupe Whattsapp de maires écolos. Ils doivent s'échanger quelques tuyaux parce qu'autant de mimétisme, c'est flippant !

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ZEMZEM le 13/03/2022 à 11:45
Cendrine Rousso a écrit le 13/03/2022 à 11h35

Un article scandaleux et orienté a charge contre nos élus écologistes qui se dévouent pour le bien commun.
Toutes les orientations de financement de l’économie et l’investissement et dédié pour la transition écologique. Ceci passe par la mobilisation des MILLIONS gérés par la sphère publique et parapublique (institutions financières, caisses de retraite…) en l’orientant vers des activités 100% durables à horizon 5 ans. En parallèle, l’épargne des particuliers doit être orientée vers des placements durables via l’intégration d’au moins 25% de produits durables dans les gammes et une taxation des produits ne respectant pas des standards minimaux.
Enfin, le financement en capital ou en dette des entreprises intervenant dans les secteurs du charbon et du pétrole/gaz non conventionnels doit être interdit à moyen-terme afin d’accélérer la transition énergétique.
Il ne manque plus qu’une volonté politique forte pour engager ET C'EST CE QUE NOUS FAISONS au quotidien : la réduction de l’utilisation de l’énergie, la sécurisation de l’équilibre du réseau, la création d’une filière de recyclage des équipements en fin de vie et la prise en compte des impacts des énergies renouvelables (EnR) sur la biodiversité. Il est grand temps de préserver l’énergie comme notre bien commun afin d’empêcher sa privatisation, de permettre sa transition et d’assurer une égalité d’accès à celle-ci. La transition énergétique ne doit pas conduire à une division entre des citoyen·nes qui investissent dans les EnR (notamment via des déductions d’impôts) et deviennent producteur·trices et d’autres qui se retrouvent consommateur·trices captifs. Fixons un nouveau cap politique, pour une transition énergétique plus juste socialement et donc réellement écologique.

Oui, les temps changent ! Pour un futur possible, pour la planète et le vivant et pour nos chers bambins

Vous démontrez dès votre première phrase le manque d'écoute des écologistes. Cet article relate des faits concrets. En tant que lyonnais je ne peux que constater le sectarisme de nos élus lyonnais. A part le vélo rien de rien .

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Jacquot 37 le 13/03/2022 à 11:36

Ils sont pires que les autres !!! vivement le prochaines élections municipales !!!!!!!!!! oh oui ! Tous les lyonnais en ont marre !!!

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Cendrine Rousso le 13/03/2022 à 11:35

Un article scandaleux et orienté a charge contre nos élus écologistes qui se dévouent pour le bien commun.
Toutes les orientations de financement de l’économie et l’investissement et dédié pour la transition écologique. Ceci passe par la mobilisation des MILLIONS gérés par la sphère publique et parapublique (institutions financières, caisses de retraite…) en l’orientant vers des activités 100% durables à horizon 5 ans. En parallèle, l’épargne des particuliers doit être orientée vers des placements durables via l’intégration d’au moins 25% de produits durables dans les gammes et une taxation des produits ne respectant pas des standards minimaux.
Enfin, le financement en capital ou en dette des entreprises intervenant dans les secteurs du charbon et du pétrole/gaz non conventionnels doit être interdit à moyen-terme afin d’accélérer la transition énergétique.
Il ne manque plus qu’une volonté politique forte pour engager ET C'EST CE QUE NOUS FAISONS au quotidien : la réduction de l’utilisation de l’énergie, la sécurisation de l’équilibre du réseau, la création d’une filière de recyclage des équipements en fin de vie et la prise en compte des impacts des énergies renouvelables (EnR) sur la biodiversité. Il est grand temps de préserver l’énergie comme notre bien commun afin d’empêcher sa privatisation, de permettre sa transition et d’assurer une égalité d’accès à celle-ci. La transition énergétique ne doit pas conduire à une division entre des citoyen·nes qui investissent dans les EnR (notamment via des déductions d’impôts) et deviennent producteur·trices et d’autres qui se retrouvent consommateur·trices captifs. Fixons un nouveau cap politique, pour une transition énergétique plus juste socialement et donc réellement écologique.

Oui, les temps changent ! Pour un futur possible, pour la planète et le vivant et pour nos chers bambins

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stupefiant le 13/03/2022 à 11:30

Punaise mais ils sortent tous du même moule d’usine ou quoi ? Force aux Grenoblois, Bordelais et Strasbourgeois qui vivent la même situation que nous…

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Le Cid le 13/03/2022 à 11:29

On va faire court ce sont des fachistes.

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