Malgré l'emballement médiatique nationale de l'affaire Lyon 2, le ministère de l'Enseignement supérieur s'est bien gardé de prendre la moindre décision.
Ce mercredi, lors de la séance de questions au gouvernement au Sénat, la sénatrice LR Agnès Evren a interpellé le ministre Philippe Baptiste, exigeant des informations sur l'avancée d'éventuelles sanctions à l'encontre de ce groupuscule d'étudiants d'ultra-gauche.
Face aux parlementaires, le membre du gouvernement a d'abord souhaité apaiser sa relation avec la présidente de l'université Lyon Isabelle von Bueltzingsloewen : "La présidente a pris à ce moment-là toutes les décisions qui s'imposaient. Elle a eu une expression malheureuse qu'elle a publiquement clarifiée après", en référence à son interview dans laquelle elle lâchait Fabrice Balanche, indiquant ne pas avoir été "étonnée" que le maître de conférence ait été ciblé, compte-tenu de ses prises de position.
"Il est intolérable que le maître de conférence comme la présidente d'université aient été menacés de mort", poursuivait Philippe Batiste, provoquant la colère des sénateurs LR qui ne voyaient pas venir l'ombre d'une réponse à leur question.
"Ce n'est pas 'Pas de vagues', c'est un appel à la retenue", se défendait encore le ministre de l'Enseignement supérieur. Pour lui, "l'université est un lieu de dialogue, de confrontation intellectuelle, de liberté académique encadrés par la loi. Nous serons vigilants sur tous les débordements".
Furieuse de ne pas avoir eu de réponse, Agnès Evren reprenait la parole : "Ce n'est pas un petit incident provoqué par des petits jeunes exaltés. C'est une offensive concertée d'une extrême-gauche intolérante et d'un islamisme qui teste tous les jours nos limites. Il faut en finir avec cet équilibrisme et réagir avec célérité et force. Nous n'avons que trop commenté avec la tête baissée. Ça suffit".
La réponse du Ministre @PhBaptiste est juste lunaire. Circulez, y a rien à voir ! A l'@univ_lyon2 et dans tant d'universités, il faudrait un bon coup de balai ! Pour cela, il faut une volonté politique et surtout du courage ! #Lyon2 @AgnesEvren @FabriceBalanche https://t.co/fgRrCWRItx
— Jérémie Bréaud (@JeremieBreaud) May 1, 2025
Madame la Ministre
Signaler RépondreAux prochaines élections, on ne vous retiendra pas🤣🤣🤣🤣
de mauvais jeunes issu de la bêtise, en plus masquer ce qui prouve leurs courages de leurs opinion d'enfants gâté.
Signaler RépondreLyon 2 ou les enfants gâtés ..
Signaler RépondreJamais ils ne travailleront grace à leur force ou leur courage ...
On forme des riens ...
Pas de vagues !
Signaler RépondrePas d'amalgame !
Bande de ploucs !!!
La différence c'est que Mr Balanche et ses amis de "droite " n'assaillent pas l'assemblée nationale pour en faire sortir les totalitaires pro-islamistes de LFI ! avec le soutien de la présidente, comme ont procédé les islamo-gauchistes avec la bénédiction de la présidente de l'institution universitaire !
Signaler RépondreC’est juste l’appel habituel au pas de vague. Franchement payer un ministre pour ça on s’en passe, pas besoin d’avoir des mecs qui enfoncent des portes ouvertes.
Signaler Répondreenseignants de droite radicale?? merde ils ne doivent pas êtres nombreux ! tu confond avec la gauche raciale ??
Signaler RépondreAu lieu dese plaindre, qu'il prenne enfin ses responsabilités, des décisions et des sanctions afin de faire cesser le marasme dans les universités. Encore un nul à Macron
Signaler RépondreCe ne sont que des nazis qui ne supportent pas de partager le même espace
Signaler RépondreQu'attends on pour les empêcher de nuire ?
Les LR feraient mieux de la fermer ,on en est la aussi à cause de leur complaisance avec les racailles , sur ordre de qui ?
Signaler RépondreAbsolument !
Signaler RépondreD’ailleurs j’ai vu qu’il était hier à 14% dans les sondages, ce gouvernement qui ne travaille que pour créer de nouvelles taxes et emmerder les français au lieu des protéger s’enfonce dans les abîmes de la médiocrité.
Un peu de retenue….en effet dans cette affaire tout le monde manque de mesure et de retenue : les associations d étudiants de gauche radicale, Balanche quand il s exprime sur les médias Bollore pour diffuser ses idées d extrême droite, la présidente de l université dans la presse locale, les élus de droite lyonnais qui instrumentalisent l affaire (Oliver, breaud wauquiez…), les élus de gauche qui font la même chose…..les enseignants de droite radicale qui défendent Balanche…
Signaler RépondreDes mollusques à l’image du 1 et ministre, des trouillards qui se cachent derrière leur petit doigt
Signaler RépondreCe Balanche devrait être expulsé de France illico direction israel.
Signaler RépondreCirculez, y'a rien à voir !
Signaler RépondreLes fréristes testent effectivement les limites. Dans ces cas là, il faut une réponse ferme, froide et sans ambiguïté. Ils font leur miel de l’excitation et des débordements des étudiants de gauche qui brandissent le mot "fasciste" à tort et à travers, contribuant à la confusion intellectuelle et, en fin de compte, à banaliser l’idée qu’on se fait du fascisme. Ces imbéciles incultes ne se rendent même pas compte que si le frérisme est parfaitement compatible avec le libéralisme économique, il est à l’opposé du libéralisme en termes de droits individuels. Les islamistes font bien sûr également leur miel de l’excitation et des débordements de ceux qui se répandent dans les médias Bolloré en instrumentalisant les faits à des fins politiciennes et de pouvoir au sein de l’université. Ils élèvent des bûchers dignes du Moyen Âge pour brûler une collègue. Au final, la présidente qui a pris les décisions qui s’imposaient est la cible des deux bords, ce qui réjouit évidemment les islamistes ! Pensez donc : une femme au pouvoir, et qui s’oppose à eux ! Eux passent pour des martyrs. S’il est objectivement inquiétant que des étudiants manquent à ce point de culture et de discernement, les professeurs alimentant la cabale médiatique sont eux impardonnables.
Signaler RépondreIl font les réponses qu ils veulent. Aucune sanction, pas de rappel à l ordre. Nous avons des ministres qui ont des réponses lunaires. Politique de l autruche, c est plus facile de s attaquer aux citoyens qui ont quelques jours de retard pour une facture ou une contravention impayée. Politique arrangée, Politique malsaine. Vivement les prochaines élections.
Signaler RépondreSans cesse, sans cesse... pour toujours dans le "pas de vagues" et l'IMPOSSIBILITE de prendre les décisions qui s'imposent...
Signaler RépondreVoilà pourquoi seuls les partis politiques radicaux sont à soutenir et à faire arriver au pouvoir...
"c est dire une réponse de faux cul" Un coannaiseur des la gauche !
Signaler Répondrecomme d habitude avec les sans corones qui sont au pouvoir avec leur "pas de vague" tout va toujours empirer
Signaler RépondreAh le fameux en même temps…
Signaler RépondreMarre de ces eunuques qui n’osent agir !
Vivement les prochaines élections pour se débarrasser de ses vendeurs de promesses et tenter de sauver ce pays.
meilleur moyen pour se casser la gueule
Signaler Répondreévidemment une non réponse du ministre. bref une réponse politique c est dire une réponse de faux cul .Ni pour ni contre bien au contraire.
Signaler RépondreLe ministre est très à l'aise avec la langue de bois et la pleutrerie.
Signaler RépondreCeux qui ont déjà eu affaire avec la direction de cette université savent très bien que l'extrême gauche à totalement infiltré cet établissement.
Signaler RépondreIl serait très intéressant de savoir comment sont financés ces groupes, ces associations, le bureau des élèves et déterminer où va l'argent, comment et au profit de qui.
Vous allez découvrir des choses très intéressantes. Quand on parle d'économies, vous en avez la de toutes trouvées.
" Ce n'est pas 'Pas de vagues', c'est un appel à la retenue", se défendait encore le ministre de l'Enseignement supérieur "
Signaler Répondre40 ans que vous êtes dans la retenue, et on voit le résultat!
Les prochaines élections approchent
Commencez a faire vos valises🤔
TOUT EST DIT :
Signaler Répondre"
Furieuse de ne pas avoir eu de réponse, Agnès Evren reprenait la parole : "Ce n'est pas un petit incident provoqué par des petits jeunes exaltés. C'est une offensive concertée d'une extrême-gauche intolérante et d'un islamisme qui teste tous les jours nos limites. Il faut en finir avec cet équilibrisme et réagir avec célérité et force. Nous n'avons que trop commenté avec la tête baissée. Ça suffit".
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