Adoptée en première lecture à l’Assemblée nationale début avril, la proposition de loi portée par plusieurs députés Renaissance visait à modifier en profondeur le mode de scrutin en vigueur dans les trois plus grandes villes françaises : Paris-Lyon-Marseille.
Mais la commission des Lois du Sénat a unanimement repoussé le texte, seules les composantes macroniste et centriste s’étant abstenues.
Soutenue par le gouvernement, la réforme prévoit de supprimer le système électoral mis en place en 1982, où les électeurs votent par arrondissement. Elle entend instaurer deux scrutins distincts : l’un pour les conseillers d’arrondissement, l’autre pour le conseil municipal, élu à l’échelle de la ville entière.
Si le rejet en commission ne signifie pas l’abandon automatique de la réforme, il envoie un signal politique fort avant le passage du texte dans l’hémicycle, prévu le mardi 3 juin. Au Sénat, dominé par Les Républicains et le Parti socialiste, les oppositions sont très majoritaires. Le Rassemblement national et La France insoumise, qui avaient soutenu le texte à l’Assemblée, sont absents ou peu représentés à la chambre haute.
Le gouvernement conserve toutefois la possibilité de faire adopter la réforme en dernière lecture à l’Assemblée, au prix d’un allongement du calendrier législatif. Une perspective qui pourrait peser sur les équilibres politiques locaux, notamment à Lyon, où ce changement de règles électorales est loin de faire consensus.
Les macronistes...
Signaler Répondrepour continuer à exister ils manoeuvrent en silence
à Paris ils vont mettre une Dati (il serait bien pour les Paris que le procès "Renault" avance un peu car bizarrement ce procès dure depuis des années)
à Lyon ils seront derrière Aulas
à Marseille ils seront derrière Payan
etc etc
ils mangent à toutes les gamelles car au final il n'y a pas de parti "Renaissance" c'est juste une assemblée d'opportunistes qui ne sont là que pour avoir des postes
Roi des quoi?
Signaler RépondreRoi de Lyon?
Signaler RépondreMagouille depuis 1982 !
Signaler RépondreOn a plus les mêmes droits que les autres francais. Si on elisait que les députés et pas notre president c'est exactement la même chose.
On a pas le droit d'élire notre maire mais seulement les conseillers qui pourrons être démis de leurs fonctions si ca ne plait pas au maire autant "pisser dans un violon"
C'est piteux.
La réforme du mode de scrutin PLM ne serait-il pas un signal pour inciter les citoyens concernés à ne pas s'abstenir ?
Signaler RépondreLes sénateurs ne veulent pas que les électeurs lyonnais aient les mêmes droits que le autres.
Signaler RépondreDe la tambouille politicienne, ils n'en ont rien à f... que le quidam ne comprenne plus rien pour aller voter...
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