Coup d'arrêt au Palais du Luxembourg. Adopté en première lecture à l’Assemblée nationale, le texte a vu son article central repoussé par 217 voix contre 97, signant un revers politique pour l’exécutif à moins d’un an des municipales de 2026.
Soutenue par le gouvernement, cette réforme visait à renforcer le lien entre électeurs et maires dans les trois plus grandes villes françaises. Elle ne faisait toutefois pas l’unanimité localement, notamment à Lyon, où les équilibres politiques restent sensibles.
Le gouvernement conserve la possibilité de convoquer une commission mixte paritaire (CMP) pour tenter d’arracher un compromis entre les deux chambres.
Thomas Dossus, Sénateur Écologiste du Rhône a logiquement justifié cette décision : "Cette réforme mal née, pensée à Paris par pur intérêt électoral, sans consultation avec les villes concernées est une occasion ratée d'une réelle mise à jour de la loi de 1982.
Ignorant les spécificités locales, notamment le double scrutin actuel à Lyon, la loi telle qu'elle est présentée est inapplicable par le troisième scrutin qu'elle imposerait[…]. Nous avons besoin de revoir les compétences des arrondissements, d'en revoir aussi la répartition du nombre de conseillers, jamais mise à jour depuis 1982 pour Lyon. Ce débat n'a pas pu être ouvert, de même qu'aucune solution n'a été avancée pour la spécificité Lyonnaise.
En conséquence, j'ai voté contre ce texte. Avec un rejet aussi massif de la chambre des collectivités, j'appelle François Bayrou à renoncer et à ne pas convoquer de commission mixte paritaire, afin qu'il respecte la parole qu'il a tenu dans l'hémicycle du Sénat lorsqu'il a exprimé le besoin de consensus sur ce texte.[…]"
Le parfait exemple du travail politicard des élus de ce pays!!!!
Signaler RépondreAh ah à Paris Lyon Marseille ?
Signaler Répondrequelque soit le parti les conseillers municipaux ont l obligation de tenir les bureaux de vote à tour de rôle !
Signaler Répondretu en as tenu souvent des bureaux de vote toi dans ton arrondissement ou ton village ?
Signaler RépondreDécidément, le pays est avant tout malade de ses politiques !.. Peut-être que lorsque la faim s'en mêlera verrons nous enfin bouger les choses.
Signaler RépondreLes sénateurs sont des nantis de la politique, qui n'ont qu'un seul but, garder leurs privilèges.
Signaler RépondreEn même temps votre théâtre de clowns qu'on appelle "élection" vous pouvez vous le garder. Les partis tous autant qu'ils sont en France sont complices de la destruction du peuple français.
Signaler RépondreC'est un peu fumeux et difficilement compréhensible ses bidouillages
Signaler Répondrej'avais entendu dire que la réforme était sous inspiration de certains partis pour:
- maintenir le PS à Marseille,
- permettre à Rachida Dati de remporter Paris
en mettant Renaissance (donc les macronistes) comme faiseur de "Rois"
Mais peut être avais je mal compris?
Combien d'entre vous sont présents pour tenir les bureaux de vote ? Une triste ridicule minorité. Vous me faites bien marrer avec vos commentaires sur les futures élections. Assumez vous un peu, tellement facile de se planquer derrière son clavier.
Signaler Répondre"Si cette réforme avait été votée et donc appliquée, lors des prochains scrutins, les LR et leurs alliés macronistes et islamo-gauchistes, auraient perdu la grande majorité des mairies qu'ils détiennent !"
Signaler RépondreSur le fait que nos élus privilégient les petits calculs politiques à l'intérêt commun : je suis d'accord.
Sur le fait que cette loi qui ne concerne que 3 villes fasse perdre la majorité des mairies qu'ils détiennent aux LR-macronistes-"islamogauchistes"... on ne parle que de trois villes détenues par la gauche qui, justement, pourraient passer LR ou macronistes AVEC cette nouvelle loi... là je pense que votre analyse trouve ses limites !
Aulas ne se présente pas.
Signaler RépondreC'est ses 3 petits copains du rn qui tweetent pour lui
Les écolos flippant...Aulas arrive
Signaler RépondrePour comprendre le rejet par le Sénat, de cette proposition de loi, il faut savoir une chose.
Signaler RépondreLes LR, complices de la macronie et des islamo-gauchistes, sont majoritaires à la haute assemblée.
Si cette réforme avait été votée et donc appliquée, lors des prochains scrutins, les LR et leurs alliés macronistes et islamo-gauchistes, auraient perdu la grande majorité des mairies qu'ils détiennent !
Dans un second temps, ils auraient perdu la majorité au Sénat !!
Les sénateurs, sont élus par "les grands électeurs" (maires notamment).
Vous le voyez, ces gens de peu de principes et de convictions, ont agi uniquement par intérêt !
Mais ça, c'est la règle chez les LR !!
L'intérêt des Français et de la France, ils s'en moquent !
Voilà pourquoi, ils s'entendent comme "larrons en foire", avec les islamo-macronistes-gauchistes !
J'espère ne pas être le seul électeurs, à ne pas avoir de mémoire de poisson rouge, lors des prochains scrutins, qui au plus tard, auront lieu en 2026 avec les municipales.
Fort heureusement, il y a fort a parier, que ce gouvernement saute dans les prochaines semaines, entrainant avec lui, le locataire de l’Élysée actuel.
Ils ont peur de la victoire de RN
Signaler RépondreC'est juste que dans un cas ça arrange certains partis minoritaires à venir et pas dans l'autre cas ;-)
Signaler RépondreMerci aux sénateurs de refuser aux électeurs lyonnais les mêmes droits qu'aux autres électeurs.
Signaler RépondreC’est surtout donner plus de poids RÉEL aux citoyens, le peuple fait peur donc verrouillons un maximum toute expression populaire et jugée populiste.
Signaler RépondreJe ne vois pas ce qu’il y a de compliqué à choisir le maire d’une ville, le maire d’arrondissement et le président de la métropole ! On cherche juste à nous faire croire qu’on est débile pour mieux nous contrôler….
Signaler RépondreOui la preuve avec micmac avec la dissolution de l'Assemblée
Signaler Répondrefait chier !
Signaler RépondreDans un sens personne n'aurait rien compris à ces élections... Déjà que c'est le foutoir en politique.
Signaler Répondre