Ce mardi, ce peintre, qui intervenait sur le chantier du marché couvert de Villefranche-sur-Saône le 19 mai dernier lorsqu'il a chuté d'environ 3 mètres avec un échafaudage, est décédé à l'hôpital.
Pour rappel, une enquête avait été ouverte. La police caladoise va désormais investiguer pour des faits d'homicide involontaire.
Selon les premiers éléments, l'échaffaudage s'est renversé, précipitant l'ouvrier au sol. Malgré son casque, sa tête avait lourdement heurté le sol.
Le peintre était employé d'une société basée à Vernaison dans le Rhône.
Interrompu suite à cet accident, le chantier colossal du marché couvert a repris, l'Inspection du travail ne voyant pas de raisons de le suspendre. Jamais rénové depuis 1933, hormis des travaux d'étanchéisation de la toiture après la Seconde guerre mondiale, le marché couvert nouvelle génération doit rouvrir en décembre. Le coût du projet est estimé à 9 millions d'euros.
je suis intérimaire (intériMERDE), je sais de quoi tu parles, chaussures de secu en bois à 5€ HT, gants non adaptés….. je préfère acheter moi même du matériels confortables et de qualités.
Signaler Répondrecependant les entreprises vont au moins cher, et au niveau de la loi sont en RÈGLES!
rip
Signaler RépondreIntérimaire pendant des années (par choix) au vu des moyens que l'on me fournissait, j'ai préféré achetez mon propre matériel de sécurité (EPI, casque, harnais...) .
Signaler RépondreSans parler les parties de ping pong entre boite d'intérim et entreprise contractuel, un vrai roman.
Le monde a la solde du premier ministre israélien?
Signaler Répondretoi tu es un comique!
Et CNEWS est pro palestinien?
Ah, il y avait longtemps.
Signaler RépondrePeut-être que tu auras une petite manif la semaine prochaine pour te défouler un peu et sortir ton drapeau palestinien.
a la solde du premier ministre israélien
Signaler RépondreCommentaire assez indigne, mais venant de la pensée LFI, il ne surprend pas.
Signaler RépondreLM arrêtez de censuré les commentaires
Signaler RépondreVous êtes a la solde de Poutine?
les employeurs mettent à disposition le matériel de sécurité aux ouvriers sur les chantiers, qui s’engagent par écrit à bien l’utiliser, les patrons sont tranquilles, un point c’est tout. ( Rachid mort à St Etienne , il y a 5/6ans, en posant des filets de sécurité, tombés de 30 mètres)
Signaler RépondreLe salarié était-il celui qui avait monté l'échaffaudage ?
Signaler RépondreEtait-il formé pour le montage ?
3 m de hauteur ! Cela pourrait être un echaffaudage roulant.
Quand pensent les personnes chargées du CSPS (Coordination Sécurité et prévention Santé) ?
Difficile de plaindre les ouvriers dans ce genre d’accident quand on voit qu’ils travaillent systématiquement sans équipements de sécurité. Je ne compte plus le nombre de personnes que je vois intervenir sur toits et échaffaudages sans harnais ni corde. La responsabilité est aussi celle des employeurs.
Signaler RépondreQu'il repose en paix. Condoléances à sa famille.
Signaler RépondreRien n'est plus tragique que les accidents du travail, dont le nombre est malheureusement encore très élevé, surtout sur la route et sur les chantiers.
Signaler RépondreLa réduction de leur fréquence passerait à la fois par l'amélioration des équipements, par le renforcement des contrôles, et également par l'acceptation par un personnel bien encadré d'obligations souvent perçues comme une gêne. Voilà qui formerait l'objet d'une belle cause nationale, capable, j'espère, de susciter l'unanimité.
bien sûr la vous donner pas le prénom et l'origine de l'ouvrier sachant que que dans les chantiers en France 90 personnes que des étrangers l'information a géométrie variable
Signaler RépondrePour qu'un échafaudage se renverse c’est qu'il n'était pas fixé au mur. On certainement estimé que 3 mètres ce n'est pas très haut, donc pas d’accrochage au mur. Résultat...
Signaler RépondreJe souhaite à toutes sa famille mes plus sincères condoléances
Signaler Répondrepauvre monsieur . tellement triste . courage à sa famille
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