Samedi 17 Mars 2012 à 10h07
Tuerie de Montauban : L'un des militaires assassinés avait grandi à Meyzieu
afp.com/Eric Cabanis
Selon le Progrès, Mohamed Legouad, abattu jeudi à Montauban, vient d'une famille originaire de Meyzieu. Plus jeune, il avait habité la rue d'Ajaccio, non loin du stade de foot. Apprécié et respecté des habitants, sa mort a été un véritable drame pour le quartier. Un troisième militaire est toujours entre la vie et la mort après cette fusillade. Les enquêteurs étudient la piste terroriste mais aussi celle d'un règlement de comptes assuré par un professionnel.
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triste Je connais le papa et la maman de Mohamed. Je suis de tout cœur avec eux. La mort d'un enfant pour quelles que raisons que ce soit et la chose la plus horrible. Respect et recueillement. SVP les donneurs de leçons !!
Signaler Répondre@Ksven. Il ne s'agit pas ni d'un jugement sur la présence française en Afghanistan ni de nier le drame, mais le meurtrier, malade et dangereux, peut trouver dans le discours public de certains les justifications de ses actes et s'autorise à se prendre pour un justicier... Les agitateurs politiques ne doivent pas oubliés qu'il sont aussi écoutés par des fous qui prennent cela pour argent content.
Signaler Répondre@jm: mais seuls les idiots stigmatisent les soldats engagés en Afghanistan. Tout le monde sait qu'ils sont des victimes, au même titre que les afghans, de dirigeants cupides, afghans ou occidentaux, qui veulent voler les richesses de l'Afghanistan, profiter du trafic de drogue que les talibans réprimaient et de la position géo-stratégique du pays. D'ailleurs, les soldats qui reviennent blessés, atteints psychologiquement à cause des atrocités qu'ils ont vu ou été obligés de commettre, ne seront pas convenablement pris en charge, comme d'habitude. A part nos dirigeants, il n'y a que des victimes!
Signaler RépondreCeux qui stigmatisent les soldat engagés, en condamnant pour des intérets politiciens la présence de la France en Afghanistan, doivent avoir conscience de la portée de leur propos sur les esprits faibles qui se rêvent justiciers.
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