L'information est révélée par le site internet lepoint.fr. Par ailleurs, deux responsables de l’agence lyonnaise de Loomis ont eux été licenciés alors qu’un troisième a été rétrogradé. Ces cinq salariés avaient déjà été mis à pied à titre conservatoire après le vol. Ces sanctions semblent attester que des fautes ont été commises dans l’organisation des transports de fonds. Selon les syndicats, un audit interne a été mené dans l’entreprise et montrerait que cinq des douze GPS équipant les fourgons ne fonctionnaient pas le jour du casse. Toni Musulin avait lui débranché le sien. La direction de Loomis France a formellement démenti ces constats de pannes de GPS.
Mercredi 16 Décembre 2009 à 08h39
Les conséquences du casse de Toni Musulin
Les deux employés de la société Loomis qui se trouvaient avec Musulin le jour du casse, ont écopé l’un d’un avertissement, l’autre d’une mise à pied.
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