Le sujet n'est pourtant pas très présent dans le débat public ou politique, même s'il arrive à Grenoble, mais il est très clairement porté par la France insoumise lyonnaise.
D'où le long plaidoyer du président écologiste de la Métropole de Lyon et du Sytral pour ne pas céder à la tentation d'abandonner les tickets et les abonnements.
Bruno Bernard rappelle ainsi que la billettique des transports en commun lyonnais rapporte chaque année 255 millions d'euros, soit 29% du financement des TCL.
"Sur un mandat de six ans, cela représenterait 1,5 milliard d’euros. Ce montant n’est pas anodin : il correspond à l’envergure financière nécessaire pour construire une nouvelle ligne de métro ou six nouvelles lignes de tramway", précise l'élu, qui prédit donc un réseau obligé de rester en l'état en cas d'instauration de la gratuité.
"La gratuité peut même avoir des effets pervers, comme une baisse du recours à la marche pour les trajets courts, une saturation accrue du réseau ou un frein au développement des infrastructures", prévient-il, évoquant "une fausse bonne idée".🟣 #Thread -🚍 Parmi toutes les questions qu’on me pose, celle-ci revient sans doute le plus souvent.
— Bruno Bernard (@brunobernard_fr) December 9, 2024
La gratuité (totale) des transports en commun. Une idée qui paraît : écologique, sociale, simple.
Et pourtant, cette solution est une fausse bonne idée. Mais cela demande de… pic.twitter.com/euSCnZodrQ
Bruno Bernard préfère donc une tarification sociale qui permet de conserver une assise financière pour poursuivre le développement du réseau. Et ça, ça risque de crisper certains de ses alliés sur sa gauche.
"à poils laineux"?
Signaler Répondreelle commence à l etre
Signaler Répondreencore un qui va pas reussir à le degraisser
Signaler Répondreil a une haleine de mammouth
Signaler Répondremais à quoi il sert ce type? quel intérêt d'en parler? il est capable de dire trois conneries à la minute
Signaler RépondreHIIIPPPSSS!!!....
Signaler RépondreBruno Bernard est lui même une fausse bonne idée...
Signaler Répondre"Mettre des voitures électriques en libre service comme les trottinettes ?"
Signaler RépondreL'autopartage. Toutes les tentatives ont échoué à part Citiz (appartenant à la métropole) qui se développe (trop) doucement.
Je pense que l'année prochaine va être socialement et financièrement très problématique et pour qui ne pourront plus rentrer dans Lyon avec leur véhicule crit'air 3 à cause de la technique de répression mise en place par ces écologistes.
Signaler Répondreen garde à vue
Signaler Répondresurtout pas aux assos!! sans eux les zécolo n'existent pas
Signaler RépondreCela marche dans plein de villes en France, pourquoi pas à Lyon ?
Signaler Répondre1,50 à Rome
Signaler Répondre1.70 à Florence.
Les transports en commun sont bondés et pas de circulation dans la vieille ville.
A Rome , les abords du forum et du colysée sont étonnamment vides de voitures.
A Rome, la circulation est libre partout ailleurs...et pas à 30 à l'heure sur des 4 voies.
Pas besoin de prendre sur les budgets de rénovations on peut prendre sur toutes les subventions versees sans aucun controles aux associations dont ont ignore l objet réel !!!
Signaler Répondreil écoute de la musique?
Signaler Répondrelà est la question...
Signaler RépondreCqfd !
Signaler RépondreVoila une réflexion totalement réfléchie , je ne peux qu'etre d'accord !
Que les utilisateurs payent leur part et que ça ne retombe pas a 100% sur le contribuable !
C’est déjà bien il réfléchit et c’est ça l’information IMPORTANTE.
Signaler RépondreJe ne comprends pas que le RHÔNE EXPRESS ne soit pas adossé à l’abonnement TCL voire même au ticket unitaire.
En effet TOUTES les grandes Ville PARIS, NICE( allez et retour 10€) NEW YORK, AMSTERDAM etc…. Cela existe déjà
À Lyon nous subissons un raquette de la Métropole et du SYTRAL 26€ allez/retour
Pas de gratuité mais moins cher.
Signaler Répondremoi je fais Hôtel de Ville —-> croix rousse. Parceque parfois gros flemme de le faire la grimpette.
Donc 2€ c’est trop cher
LFI son programme est : ne travaillez pas et tout sera gratuit pour vous > transports santé et. …
Signaler RépondreLaissez bosser les autres ils paient pour vous.
Contentez-vous de manifester tous les week-ends et saccagez tout pour vous faire entendre.
Laissez exprimer votre haine et votre racisme envers la France chrétienne !
Tout est dit …
de l homme qui prend conscience de son inanite lorsqu il est face à sa propre solitude,loin des ors des charges prestigieuses qu il convoite toute sa vie...
Signaler RépondreLe gratuité d’accès aux transports en commun pourrait tout de même avoir du sens à un moment où on doit résoudre l'équation de la liberté de circulation et la diminution de nos empreintes carbone.
Signaler RépondrePour le moment on interdit l'utilisation de certains types de véhicules dans la Métropole (au 1er janvier ça touche la classe moyenne avec les critères 3), on développe les pistes cyclables, on encourage la marche à pied, on propose l'auto partage (avec une petite arnaque tarifaire à coup d'indemnités de retard qui exclue les usagers qui n'ont pas de marge de manoeuvre budgétaire), en proposant pour ceux qui le peuvent une subvention pour remplacer leur voiture individuelle.
La question ne semble pas être réfléchie sous l'angle culturelle, c'est à dire l'intégration à nos modes de pensée qu'un jour on peut se déplacer a vélo, le lendemain a pieds, prendre un bus au passage, ou avoir besoin de temps en temps d'une voiture. Techniquement c'est pourtant possible, mais culturelle le prix du billet de tcl l'interdit.
Alors certes la billetique des tcl rapporte 29% du budget de financement des transports en commun, 255 millions. Si on supprime la billetique il faut partiellement combler cette somme. Combien coûte le fonctionnement de la billetique ? Les contrôleurs, l'entretien des machines qui produisent les droits de passage. Quelques millions sans doute... admettons qu'il reste 200 millions à financer. Les entreprises qui paient une partie des abonnements de leur salariés n'auraient elles pas tout intérêt à participer à l'effort collectif en prenant volontairement en charge 100% de la valeur de l'abonnement de leur salariés sous forme d'une taxe? Ça peut se discuter tout de même et cela représenterait sans doute une grosse part des 200 millions restant à financer. L'augmentation de la taxe de séjour des touristes qui pourraient en contre partie utiliser librement les transports en communs lors de leurs visites pourrait contribuer également à une part de ce financement, non?
En tous les cas, la gratuité d'accès au transports en commun serait sans doute un facteur essentiel au changement d'habitudes de nos mobilités avec le soucis d'une certaine justice sociale.
Mais non, les écologistes lyonnais préfèrent mettre des millions dans le financement de subventions qui permettent aux plus riches de changer de bagnole sans trop débourser. Et de prétendre que c'est social puisque au final le qualité de l'air bénéficie à tous, même a ceux qui sont astreints à l’immobilité...
Bref, je trouve que Bruno Bernard n'est pas très créatif et politiquement je pense qu'il a tord de balayer comme il le fait l'hypothèse d'une gratuité d'accès aux transports en commun lyonnais.
C'est très beau et sonne très vrai.
Signaler RépondreVous savez, à force de critiquer sans arguments, sans
Signaler Répondrechercher le moindre équilibre technique/financier/social, vous allez revoir les mêmes personnes là où vous ne le souhaitez pas. Pas de concertations ? Si, j'en ai d'ailleurs entendu beaucoup plus que sur les décennies d'avant.
Moi aussi je trouve que certains écologistes
se trompent sur le Lyon Turin et le nucléaire mais ça c'est l'affaire de l'état, pour autant la ville est plus agréable.
Des lieux qui servaient de paillasson routier qui ne donnaient pas envie deviennent des lieux de vie. Des endroits mal desservis aussi.
Les problèmes de sécurité ? C'est un vieux dinosaure, personne n'a fini un mandat sans qu'on ne lui reproche quoique ce soit.
J'ai hâte de voir le futur lyonnais, villeurbannais vaudais et même l'ouest avec les 2 futurs tramways.
Cette histoire de "gratuité" rejoint un ensemble plus vaste, qu'est le socialisme, dans lequel, tout doit être mutualisé, les plus riches et les plus capables, payant ou travaillant pour tous les autres. Sauf que l'histoire nous a appris que cela ne marche pas. Faire travailler ou payer quelqu'un en lui expliquant que c'est pour les autres, fini toujours par le décourager et le faire fuir. Ce qui amène inévitablement la misère.
Signaler RépondreUn peu de redistribution oui, quelques efforts par ceux qui peuvent, oui, mais pour que cela marche à long terme, la notion de contrepartie est indispensable.
Concrètement, celui qui reçoit doit être reconnaissant envers celui qui donne, il doit aussi participer, à hauteur de ses moyens et capacités à l'effort.
Dans le cas des TC, cela implique que chacun doit payer, au moins une petite partie du service, et aussi respecter ce service et ceux qui paient plus.
Quand vous montez dans un bus, que vous payez le plein tarif, que vous n'êtes plus tout jeune, et qu'un étudiant avec son tarif préférentiel, ou un fraudeur s’assoie devant vous sans la moindre considération pour vous qui restez debout, vous pensez que allez continuer longtemps à prendre le bus?
Rien n'est gratuit, on est d'accord.
Signaler RépondreLe trottoir, où passent les pas pressés et les promenades lentes.
La passerelle, qui relie deux rives ou deux mondes.
L’escalier qui gravit la colline, chargé d’histoires et d’efforts.
Le banc public, théâtre des conversations ou des silences partagés.
Le parc, ses pelouses, ses arbres centenaires, et ses coins d’ombre.
La place, large ou étroite, vivante ou endormie, qui accueille marchés et rassemblements.
La fontaine, chantant ou silencieuse, miroir des étoiles ou des regards.
Le pont, posé sur l’eau comme une main tendue.
La rue, avec ses pavés, ses goudrons, et ses souvenirs enfouis.
Le quai, qui regarde les bateaux partir sans bouger.
Les murs, habillés de fresques ou de l’usure du temps.
La piste cyclable, serpent fluide entre voitures et piétons.
Les escaliers roulants des galeries commerciales, escaliers des rêves et des achats.
Les passages piétons, zébrures qui rappellent la cadence des jours.
Les cours d’écoles désertes en été, où les rires résonnent en écho.
Les jardins ouvriers, petits royaumes de tomates et d’oseille.
Les aires de jeux, pleines d’enfants, de cris et de glissades.
Les abris-bus, refuges fugaces dans l’attente.
Les terrains vagues, promesses de possibles ou traces d’un passé oublié.
Les marchés, odeurs, couleurs et paroles mélangées.
Les passages couverts, entre deux pluies ou deux époques.
Les cimetières, étrangement calmes, jardins de mémoire.
Les bibliothèques municipales, refuges d’histoires et de savoirs.
Les quais de gare, où tout commence ou finit.
Les promenades le long des remparts, traces des villes anciennes.
Les ronds-points, absurdes ou poétiques.
Les belvédères, qui ouvrent l’horizon.
Les marchés aux puces, trésors du dimanche.
Les bouches d'égout, mystérieuses portes sous nos pieds.
Les plaines de jeux d’eau en été, rires et éclaboussures.
Pourquoi demi tarif pour les retraités ? Pas mal d'entre eux gagnent plus mensuellement que des actifs !!!
Signaler RépondreUn bareme tarifiare indexé sur le revenu oui, par tranche d'âge non.
Une chose sure c'est qu'il à vider la caisse de la métropole en transformant Lyon en champ de guerre avec des travaux et tranchées de partout. Toujours facile de faire de grand projet avec l'argent du contribuable . Son calendrier est digne d'une invasion guerrière menée sous l'idéologie écologiste brandissant le bras de l'urgence climatique. Comme cela on ne fait pas de raissonnement , on exclu toute concertation pour à la fin se rendre compte de leur inepties.Ces militants sont dangereux . Les mêmes qui criaient contre le nucléaire et aujourd'hui baissent la tête de honte. Voila maintenant que les élections arrivent, les voila tous à genoux tel des pénitants demandant le pardon . Leurs MEA CULPA sonnent faux . Rappelez vous le "J'ai changé" d'un autre enchanteur politique.
Signaler RépondreEt on n’en parle pas des doubles prélèvements sur décembre. On me dit au guichet que plus de 10 000 personnes sont concernées et toujours pas d’info d’un remboursement et de solution pour ne pas reproduire le problème. Ah bon, à quand la gratuité car on en est bien loin !
Signaler RépondreBizarre la gratuité des transports existent dans certaines villes, pourquoi pas Lyon pour être avant-gardiste !
Signaler RépondreEt les retraités pourquoi pas un demi tarif !
c’est gratuit…mais pour les étrangers bien sûr !
Nous pouvons constater tous les jours que pour certains les tcsp sont gratuits.
Signaler RépondreIl y a 10j, contrôleurs dans le tram entre debourg et confluence, je monte je badge je me fait contrôler.
Un adulte 20aine bien appuyée monte, capuche du sweet sur la tête, dégaine de cassos à tendance racaille bien appuyée, monte à son tour ne badge pas (limite check avec le contrôleur qui devait être un vague cousin de la cité), s'assoie et pas de contrôle.
Moralité je vais m'habiller en racaille et ne paierais plus !
BB il faut serrer les boulons des contrôles car la c'est openbar pour toute la racaille et cousins proches !!!! Et surtout recruter des contrôleurs, des vrais pas des racailles.
La gratuité, ça n'existe pas.Soit c'est l'usager qui paye, soit c'est le contribuable.Comme les Mélenchonistes adorent les impôts ,ils sont pour cette solutions.
Signaler RépondreDe toute façon, depuis les verts le métro est en panne toute les semaines, les gens sont furieux.Ils en ont raz le bol
Non, la billetterie (et tout ce qui va avec : barrière de péage, surveillance et paye des surveillants, etc...) ne représente pas un tiers, mais à peu près un dixième de ce que rapporte la vente des billets et abonnements.
Signaler RépondreVoir le titre
Signaler Répondre"les entreprises remboursent pour certaines jusqu'à 70% des abonnements. Elles peuvent donc augmenter leur participation dans le financement des TC en cas de gratuité".
Signaler RépondreIl faut arrêter de prendre les entreprises pour des vaches à lait, et plus largement arrêter avec cette mentalité: "tout m'est dû par l'état, les entreprises, les autres..."
C'est rare, mais pour une fois je suis d'accord avec lui. Il faut arrêter avec cette croyance que tout peut être "gratuit". SI on veut quelque chose, on le paie.
Signaler RépondreÇa suffit les péages et l’augmentation des péages. Un péages en ville privilégie les plus riches, les péages ne cessent d’augmenter si bien que de plus en plus de gens évitent les autoroutes. Par contre, des idées, on peut en trouver. Je suis passionné d’engins mécaniques mais il faut bien se rendre à l’évidence en terme d’encombrements, de pollution et de santé, un virage est à prendre. C’est pour cela que j’irai jusqu’à approuver l’interdiction de ceux-ci en ville en développant divers solutions en fonction des besoins et notamment le développement de voitures électriques en location sur l’ensemble de la métropole et si l’on réfléchie à long terme, on pourrait envisager le développement du transport en commun sous terrain en créant un quadrillage sur l’ensemble de la métropole ce qui permettrait de libérer de la place en surface pour d’autres usagers et la plantation de végétation. Je précise en quadrillage car au pire, en 1 seul changement, on pourrait se rendre partout et facilement et les voitures lorsque l’on a des charges plus lourdes ou imposantes ou que l’on est plusieurs. Ceci ne sont que des exemples, des idées il y en a plein qui respecte l’égalité de chacun.
Signaler RépondreJ espère pas payer plus chère vu l absence de service et pannes répétitives !!
Signaler RépondreEt je parle pas de l absence fréquence des bus souvent invisibles a l horizon!! Rare ne pas de pas avoir a attendre moins de 15 à 20 mn pour un bus sur les grands axes et qui plus est arrivent bondés de monde
Desole mais j ai repris la voiture!
Tout à fait d'accord, où trouver l'argent si ce n'est dans la poche du contribuable, y compris dans la poche de ceux, qui, pour diverses raisons prennent rarement les TC. Il faudra donc encore augmenter les impôts pour ceux qui en paient.
Signaler Répondrevoilà que la sagesse arrive à l imbecile
Signaler Répondreque ce n est pas toi
Signaler RépondreC’est vrai, allez prendre le bus à Rilleux Ville Nouvelle, les bus sont pleins mais vous n’entendez rarement le petit bruit de validation.
Signaler RépondreNon, puisque sans billeterie, un tiers des coûts va disparaitre.
Signaler RépondreSi c'est gratuit il y aura plus de monde dans les transports déjà bondés
Signaler RépondreDonc plus de gens qui râlent
Et avant les élections c'est très mauvais
On a compris nanard faut pas nous le faire
Le ticket à 1 euros par exemple .
Signaler RépondreL'exécutif commence à sortir du dogmatisme sectaire et du discours électoraliste pour rentrer dans la réalité .
Signaler RépondreOn ne parle plus du téléphérique et , mine de rien , on entrouvre même la porte à une nouvelle ligne de métro .
Mieux vaut tard que jamais , mais il était grand temps .
c'est d'avoir placé Bruno Bobard à la tète de la métropole
Signaler RépondreUn bon raisonnement
Signaler RépondreParce que tu crois que c'est uniquement financé par l'argent public ?
Signaler RépondreLa gratuité non, tout se paye évidemment, personne ne prend sa voiture gratuitement, mais avec des prix plus attractifs pour tous. IL faudrait imaginer des solutions innovantes, par exemple un péage urbain pour les voitures ou une taxe importantes sur les autoroutes pour payer les transports en commun. Surtout avec toute la pollution qu'apporte les voitures à Lyon avec un autoroute en plein centre ville. Cela serait mieux que de nourrir des actionnaires internatioaux ou autres qui ne s'intéressent pas au développement du territoire. IL y a des solutions à imaginer pour rendre le coût du transport en commun moins cher et financer de nouvelles lignes au maximum. Mettre des voitures électriques en libre service comme les trottinettes ?
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