En réplique, 50 universitaires signent une tribune publiée par le Figaro dans laquelle ils réclament la démission de la présidente de l'université Lyon 2, nommée il y a moins d'un an.
Dans ce texte initié par Xavier-Laurent Salvador et notamment signé par les anciens ministres Luc Ferry et Jean-Michel Blanquer, Isabelle von Bueltzingsloewen est critiquée pour son "extrême prudence" dans son premier soutien au maître de conférences dont le cours avait été interrompu par des étudiants le 1er avril dernier sur le campus de Bron, et pour sa "complaisance glaçante" avec les jeunes qualifiés d'"islamogauchistes" par Fabrice Balanche.
"Rupture morale", "acte d'indignité", les auteurs de la tribune ne manquent pas de qualificatifs pour désigner la décision de la présidente de Lyon 2 de "remettre en question sa (celle de Fabrice Balanche ndlr) légitimité scientifique en contestant publiquement sa liberté académique".
"La présidente de l’Université Lyon-2 ne peut pas rester en fonction après un tel reniement des principes fondamentaux de la République universitaire. Nous demandons sa démission", concluent les universitaires signataires.
Pour rappel, Isabelle von Bueltzingsloewen avait notamment déclaré dans une interview à Tribune de Lyon "ne pas avoir été étonnée" que l'enseignant soit pris pour cible, compte-tenu de "ses positionnements sur Gaza".
"Dans une tribune, 50 universitaires qui requièrent l'anonymat, réclament sa démission."
Signaler RépondreAlors on assume pas ?
Enfin un sursaut de soutien et de patriotisme.
Signaler RépondreJ'espère que ce soutient signataire se propagera dans toutes les institutions de notre pays. C'est le minimum que l'on se doit de faire.
Certaines institutions ont bannis certains mots comme faillir, abandonner, ou se défiler de leur vocabulaire.
Un seul mot d'ordre: cohésion.
Pour y parvenir sauver ou périr, force et honneur, courage et dignité, etc etc... Le seul et unique moteur de cette motivation et détermination à toutes épreuves, c'est ce drapeau tricolore que l'on regarde avec respect, s'élever en haut d'un mât. Et cela pour préserver la liberté, l'égalité et la fraternité..
Porter une écharpe tricolore sans ces valeurs devient de plus en plus banal. Alors pourquoi ne pas se réinventer : laïcité éparpillé divisé..
Un pour tous et tous pour un s'applique pour tous, du plus haut de la chaîne jusqu'au dernier maillon. Le tout avec des convictions qui ne doivent pas porter atteinte à l'institution. Mon discours face à cette société paraît d'un autre âge quand on ne comprend même pas le sens du mot Respect.
Des questions... Alors action...
Plus aucun doute, les islamistes mènent une guerre sur notre territoire. Tous ceux qui les gêneront seront taxés de racistes ou fascistes, avec la complicité de la gauche française
Signaler RépondreJe ne connais pas bien le monde universitaire.
Signaler RépondreMais vu de l'extèrieur cette personne est loin d'avoir été à la hauteur.
L'université permet justement de débattre sur tout les sujets et échanger des points de vue.
En aucun cas on ne peut tolérer le silence par la force.
Fascinant de voir le profil de cette dame sur Wikipédia et de se dire "Tout ça pour en arriver là."
Signaler RépondrePathétique.
Et les étudiants , que deviennent-ils dans cet embrouillamini politico-universitaire alors que l'on entre dans la période des examens ?
Signaler RépondreUne petite retraite anticipée d i'ci la rentrée et hop...: affaire classée
Signaler RépondreA t elle une carte à EELV ?
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