La présidente de l'Université Lyon 2, dans l'oeil du cyclone pour avoir lâché Fabrice Balanche, le maître de conférence dont le cours avait été interrompu le 1er avril par des étudiants, a reçu le soutien de Grégory Doucet ce mardi.
"Les menaces de mort dont elle est victime sont intolérables", évoque le maire de Lyon, qui qualifie également l'intrusion dans le cours de Fabrice Balanche d'atteinte "inacceptable à la liberté d’enseigner".
"La liberté académique est un pilier de notre démocratie. Elle implique la possibilité de débattre, de critiquer, de produire du savoir, dans le respect du cadre républicain, des personnes et des institutions. Les enseignants comme les responsables universitaires doivent pouvoir exercer leurs missions sereinement, à l’abri de toute pression ou menace. Les responsables politiques n’ont pas à remettre en cause, directement ou indirectement, la liberté académique comme la libre administration des universités", poursuit Grégory Doucet, prenant pour cible les nombreux élus de droite et d'extrême-droite qui ont réclamé la démission d'Isabelle von Bueltzingsloewen la semaine dernière.
"Dans un contexte national et international où certains cherchent à instrumentaliser, à affaiblir la science et la recherche ou à en tirer un bénéfice personnel, il est plus que jamais nécessaire de défendre l’université comme lieu de débat, de transmission et d’émancipation", conclut le premier magistrat de Lyon.
Doucet évoque la liberté académique mais ne dénonce pas les provocations de personnes ayant décider de rompre le ramadan dans une université c’est du jamais vu .. puis des personnes au nom de la palestine interromprent un cours en étant menaçant et cagoulé c’est inimaginable au maire d’une ville ne dénonce pas ce terrorisme intellectuel grave !
Signaler RépondreDixit celui qui prône la désobéissance civile....c'est vraiment un tartuffe lui ! Tout ça pour aller à la peche aux voix. Pathétique !
Signaler RépondreConseil de communication certainement donné par un des 24 chargé de mission pour étouffer l'affaire des 24 chargé de mission peut être sortis de Lyon 2.0 . Mais comme le dit si bien Doudou la présidente aux lunettes vertes aurait du défendre la liberté d'enseigner et non pas l'occupation des locaux par ces copains islamo gauchiste.
Signaler RépondreSi on suit le raisonnement de Gregory pour la présidente c est la liberté académique, par contre pour le professeur d histoire, il n y a pas de liberté académique. Normal, l une est de gauche l autre pas .
Signaler RépondreA se pauser la question si cela n'es pas monter de toutes pieces.
Signaler Répondrepolitiquement ,il y a de la pèche au gros !
liberté pour cette dame qui ne soutiens pas son employé mais pas pour son employé qui prend la liberté de débattre et critiquer ! c'est ça la liberté de gauche et de ces menteurs !!
Signaler Répondrele changement c'est maintenant !!
Contrairement à la droite, la gauche sait se serrer les coudes (en particulier quand il y a des places à prendre et de la bonne soupe), surtout à l'extrême gauche...
Signaler RépondreLiberté est ce s imposer comme certains militants ...
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