Laurent Wauquiez, plus que l'actuel président Fabrice Pannekoucke, se retrouve ainsi conspué par les parlementaires rhodaniens de gauche.
Gabriel Amard, député LFI de Villeurbanne, accuse le député de Haute-Loire d'utiliser "son mandat régional comme un instrument de répression idéologique".
"Vous sanctionnez une université pour des choix pédagogiques qui ne vous plaisent pas, et alimentez le sale fantasme d’un ‘islamo-gauchisme’ universitaire, dans le seul but de flatter votre frange réactionnaire en vue des élections internes des LR. C’est une attaque grave contre la liberté académique, le pluralisme et l’autonomie des universités publiques", poursuit le parlementaire insoumis, apportant son soutien à l'Université Lyon 2.
"La liberté académique vaut mieux que la course de petits chevaux du congrès des Républicains !", réagit aussi Anaïs Belouassa Cherifi, députée LFI de Lyon.
Quant à Abdelkader Lahmar, le député insoumis de la 7e circonscription, il traite Laurent Wauquiez de "charlatan" : "Utiliser les fonds publics pour financer l'émancipation à travers l'université ? Là, c'est non. Laurent Wauquiez est un adversaire de tout ce que la République cherche à construire de juste, d'universel et de laïc..."
Enfin, pour l'écologiste Marie-Charlotte Garin, Laurent Wauquiez a inventé "le délit d’opinion universitaire. Profs et étudiants devront-ils prouver leur alignement politique pour garder la lumière allumée ?"
c'est une madrassa
Signaler Répondrese passait a la région du temps de Queyranne ...
Signaler RépondreLe LFI Abdelkader Lahmar traite Laurent Wauquiez de "charlatan" : "Utiliser les fonds publics pour financer l'émancipation à travers l'université ? Là, c'est non. Laurent Wauquiez est un adversaire de tout ce que la République cherche à construire de juste, d'universel et de laïc..." LOL
Signaler RépondreAbdelkader Lahmar n'a eu aucun mot se soutien pour Fabrice Balanche face aux activistes qui ont interrompu son cours, là c'est non. il défend aveuglement une école condamnée pour manquement aux valeurs de la République... et ce militant LFI qui parle de " tout ce que la République cherche à construire de juste, d'universel et de laïc..." De plus ce militant LFI parle de "charlatan", quelle (mauvaise) blague ce type.
L'Université est l'essence même de la cooptation de l'entre soi cela depuis des décennies.
Signaler RépondreC'est un système assez "mafieux" qui était déjà à la dérive il y a 30 ans.
On parlait avant des fameux "mandarins" mais je crois que c'est pire maintenant car on se retrouve avec des MCU ou des Pr incompétents car ils ne sont pas nommés pour leurs compétences mais parce qu'ils font parti du cercle des admis.
D'ou une batardisation de la pensée c'est un peu comme les histoires de familles consanguines qui agglomèrent toutes les tares génétiques.
Et arrêtons de parler de Libertés Académiques car cela n'existe pas !!
Il serait déjà bon qu'il y ait un audit complet de tout le financement des "associations" en France.
Signaler RépondreNos chers élus préparent fermement les élections de 2026 et donc cela passe comme d'habitude par le bon vieux clientélisme et donc avec l'argent public le financement d'associations souvent très idéologisées. Ils sont très généreux avec l'argent du contribuable.
Je parlerais pas d'ancienne "star" de la politique qui se recasent à la présidence de certaines assos (faudrait vérifier leur salaire) .... France Terre d'Asile par exemple ou encore Oxfam . D'une autre côté ses personnes sans trop de compétences professionnelles seraient très embêtées de trouver un vrai boulot dans le "monde réel" donc elles continuent de vivre aux crochets des autres.
Une Université à déplacer à Tehran ? ? ? ?
Signaler RépondreLe ridicule ne tue pas, jusqu'à maintenant !
Signaler RépondreLa liste des députés qui soutiennent Lyon 2 est révélatrice de l'orientation de cette université. Tout est dit...
Signaler RépondreL’université est un lieu de savoir, de réflexion critique et d’émancipation. Elle se doit d’incarner les principes fondamentaux de la République, au premier rang desquels la laïcité. Pourtant, certaines dérives observées au sein de l’université Lyon 2 posent question. L’apparition ou la tolérance de salles de prière, la diffusion d’idéologies religieuses sous couvert de liberté d’expression, ou encore l’apologie plus ou moins déguisée de régimes théocratiques dans certaines sphères du campus compromettent la neutralité que l’enseignement supérieur public est censé garantir.
Signaler RépondreL’université ne peut devenir un lieu de promotion politique ou religieuse. Elle n’est ni une mosquée, ni une église, ni un temple, et encore moins une tribune pour des régimes qui instrumentalisent la foi à des fins de pouvoir. Les salles de prière permanentes n'ont pas leur place dans une institution laïque financée par des fonds publics. La liberté de culte existe, mais elle ne doit pas se confondre avec un droit à l’installation de lieux de culte dans les enceintes universitaires.
À cela s’ajoute une crise silencieuse mais tout aussi inquiétante : celle de la validation académique au rabais. Des cohortes entières d’étudiants sont aujourd’hui validées sans réelle distinction entre les compétences. Les fautes d’orthographe, les lacunes grammaticales ou l’incapacité à structurer une pensée écrite ne sont plus éliminatoires. Cette indulgence nuit à ceux qui travaillent dur, qui maîtrisent la langue et qui ont une réelle capacité d’analyse. En nivelant par le bas, on dévalorise les diplômes et on sabote la crédibilité de l’institution.
Le résultat de cette politique est visible sur le marché de l’emploi. À Lyon 2, hors débouchés dans la fonction publique, les perspectives professionnelles offertes par de nombreuses filières sont extrêmement limitées. Beaucoup d’anciens étudiants se retrouvent dans une impasse, porteurs de diplômes déconnectés des besoins du tissu économique local ou national. L’université, censée préparer à la vie professionnelle, devient parfois une fabrique à précarité.
Il est urgent de repenser le rôle de l’université. Elle doit rester un sanctuaire de savoir, libre de toute influence religieuse ou politique. Elle doit restaurer l’exigence académique et renforcer les liens entre les formations et les besoins du monde professionnel. Sans cela, elle court le risque de trahir sa mission première : former des citoyens libres, éclairés et aptes à contribuer à la société.
Gabriel Amard, député LFI de Villeurbanne, accuse le député de Haute-Loire d'utiliser "son mandat régional comme un instrument de répression idéologique". par ce que lui et son groupe de guignol LFI n'ont jamais voté dans le sens inverse des citoyens ? SI ET A PLUSIEURS REPRISES. LFI à part attiser la haine entre les gens ne savent rien faire d'autres.
Signaler RépondreMadame Garin oublie vite que le délit d'opinion universitaire a été inventé par ceux ayant envahi un cours parce que le maître de conférence avait dit quelque chose qui leur déplaisait. Puis par la présidente de l'université qui n'a pas soutenu son enseignant. Étrangement, madame la député était très silencieuse à ce moment là.
Signaler RépondreSauf à penser que seule la parole validée par le grand gourou a le droit d'exister à l'université.
Ce sont plutôt eux qui sont entrain de faire leur propre satire à tout politiser sans arrêt et à promouvoir une laïcité inversée.
Signaler RépondreSavez vous au moins ce que signifie "voler au secours de quelqu'un" ?
Signaler RépondreSi tu savais ce qu'il se passe à Lyon2 .....
Signaler Répondre3...Lfistes qui chassent en meute lol
Signaler RépondreOui mais eux ils volent pas l'argent de la région pour faire des repas a 1100 € par personne
Signaler RépondreLe système Melenchon dévoilé. Ce sent pas bon … Vivement, l’étape suivante.
Signaler RépondreBientôt l’implosion du mouvement.
Et hop, fini en 2027.
Ces pauvres insoumis s’enfoncent un peu plus chaque jour!
Signaler RépondreQu’ils continuent…quant à leurs arguments, ils sont à mourir de rire….
Encore une fois les écologistes mettent en évidence leur proximité avec LFI et l'extrême gauche !! On dissout certains groupuscules de l'extrême droite, mais on laisse l'extrême gauche dire, écrire et médiatiser des âneries à longueur de journée, de mois ou d'années sans réagir...
Signaler RépondreCes clowns de députés NFP volent au secours de leur électorat , ces sales morpions qui polluent nos universités
Signaler RépondreL’adjoint de l’université Lyon 2 fait quand même l’objet d’une enquête pour apologie du terrorisme, il faut quand même pas trop la ramener et être lucide sur le constat que cette université est dépassée et ne fait pas ce qu’elle doit faire : prodiguer un enseignement laïque et indépendant
Signaler RépondreOn attend aussi que les préfets jouent leurs rôle pour scruter toutes les subventions de versées aux associations pour avoir les voix aux prochaines municipales. On voit se multiplier les actes de clientelisme ses derniers mois pour draguer les "communautés ".
Signaler RépondreEt bizarrement les écologistes (qui ne sont que la branche verte totalitaire de LFI) découvre le thème de la sécurité en fin de mandat (par exemple à Bordeaux)
Il faut respecter la laïcité et ne pas financer les lieux de cultes. La région a raison.
Signaler RépondreMelenchon rend l’argent du peuple
Signaler RépondreBayrou rend l’argent du peuple
La liste est longue dans les deux camps
Comme quoi quand on veut prendre des mesures on peut.
Signaler RépondreIl y a beaucoup d'autres subventions à supprimer.
Quand j entends toutes ces langues de bois s'époumoner de formules a 2 balles , et bien je trouve Laurent W beaucoup plus sympathique!
Signaler RépondreIl est sans doute vrai que Tonton Mélenchon leur a demandé de faire de l occupation médiatique ...Mais l excès est toujours contreproductif .
est elle une élue écolo ou bien LFI? C'est pas toujours très clair...
Signaler RépondreLes Fachos Incultes défendent Lyon 2..... C'est normal, ce sont eux qui dirigent Lyon 2 !
Signaler RépondreC’est parfait, s’il n’y a que l’extrême gauche qui s’offusque, c’est qu’il a tapé au bon endroit. Quelle honte Lyon2 ça a toujours été le repère des casseurs qui ont désormais franchi une ligne rouge dans l’islamo-gauchisme
Signaler RépondreL'islamo-gauchisme un fantasme ?
Signaler RépondreIls ont raison c'est l'islamo-gaucho-électoraliste qui est réel...
Comment ces députés osent-ils parler de liberté pédagogique, lorsqu’une minorité agissante, toujours la même, se permet de bloquer l'accès aux cours, de censurer des conférences, de réquisitionner un local pour y pratiquer une religion (mais il n'y aura jamais de crèche dans cette salle...), ... L'université est un lieu d'apprentissage du savoir, de débat, et non pas consacré à une poignée de militants payés par nos impôts pour y pratiquer de l’entrisme, de la censure, l'entre-soi aux frais de la princesse. Et regardez l'identité de ces députés soit-disant indignés... ils n'ont jamais dû mettre les pieds dans une vraie université.
Signaler Répondreplus de subvention et vice président en PLS , Lyon II c'est fini
Signaler RépondreTout cela est lamentable pour se faire élire !
Signaler RépondreMarine rend l'argent du peuple
Signaler RépondreLaurent rend l'argent du peuple