C’est la formule qu’on entend en boucle, dans la bouche de nos élus lyonnais, dès qu’un habitant, un commerçant, un artisan, un professionnel ose émettre une réserve sur la transformation radicale en cours dans le cœur de ville. Ce serait inéluctable, donc inutile de discuter.
Pratique, simple, efficace :
La Zone à Trafic Limité ? Un progrès.
Les rues vides ? Une transition.
Les commerces qui ferment ? Une phase d’adaptation.
Mais si l’histoire a un sens, alors il serait temps de se poser la question de la page que nous sommes en train d’écrire collectivement. Car à ce rythme, ce que nous fabriquons, c’est une ville coupée de sa réalité, vidée de sa vitalité, et sacrifiée sur l’autel d’un modèle urbain hors-sol, idéalisé, figé.
Une ville-conceptuelle, agréable à vivre peut-être, pour celles et ceux qui habitent, travaillent et consomment dans un périmètre de quinze minutes autour d’eux, et qui disposent d’un pouvoir d’achat bien supérieur au revenu moyen. Mais pour les autres ?
Ce samedi, la ZTL lyonnaise entre en vigueur.
Trois lettres qui symbolisent une seule ambition : fermer à la circulation automobile une grande partie du centre-ville pour "apaiser", "respirer", "transformer".
Mais dans la réalité lyonnaise de 2025 et de sa ZTL, c’est une toute autre histoire : une ville qui s’asphyxie sous les interdictions, les travaux non coordonnés, les injonctions techniques, et un calendrier imposé.
Une Presqu’île bunkerisée, où l’on circule désormais à condition d’être autorisé, enregistré, certifié, et où se garer dépend parfois du bon côté de la rue où l’on habite.
Et pendant ce temps, les artisans fuient. Les livreurs tournent en rond. Les clients renoncent.
Les commerçants ferment.
Pas les grandes chaînes.
Pas les multinationales.
Non : nos commerçants indépendants.
Le coeur battant de la ville. Son poumon économique. Ceux qui rendent vivante la cohésion sociale.
Ceux des boulangeries de quartier. Les fleuristes. Les coiffeurs. Les traiteurs. Les restaurateurs. La petite boutique de boucles d’oreilles de la rue Childebert et la gantière de la rue Constantine.
Des visages. Des parcours. Des histoires familiales. Les économies et le travail de toute une vie.
Une fierté d’exercer leur métier au cœur de la plus belle ville de France.
Des gens enracinés, qui ont tout misé sur Lyon et qui, désormais, n’en peuvent plus.
On nous répond que tout cela est nécessaire, urgent, indispensable.
On nous parle d'écologie. Et bien sûr que l’écologie est une priorité, comme l’apaisement des villes est une aspiration collective.
Mais une ville sans équilibre, sans activité, sans habitants, ce n’est pas un progrès. C’est un échec.
Et surtout : c’est un choix.
Un choix idéologique, vertical, imposé. Sans étude d’impact. Sans accompagnement. Sans écoute.
Je pense souvent à Gérard Collomb lorsque l’on évoque ces sujets d’aménagements de la ville. Il avait sans doute ses défauts, mais il savait surtout ce qu’est une ville. Il savait que l’urbanisme, c’est d’abord un dosage. Que l’écologie n’a de sens que si elle s’ancre dans le réel. Il savait qu’on ne transforme pas une ville contre ceux qui y vivent. Qu’on ne l’apaise pas à coups de pelleteuses, d’interdictions, de fermetures intempestives. Que penserait-il de la transformation radicale qui est en train de s’opérer?
Aujourd’hui, tout se fait en force. Les mesures se superposent, s’imposent, se verrouillent. Et face à cela, des milliers de Lyonnais se mobilisent. Des habitants, des commerçants, des professionnels, des retraités, des étudiants. Des gens que rien ne rassemble, sauf une évidence : Lyon est en train de changer trop vite, trop fort, trop mal.
Un collectif s’est formé, en dehors des partis, pour fédérer ces voix. Il réunit désormais plus de 16.000 signataires, une trentaine d’associations, et organise des mobilisations dans toute la ville. Il ne s’agit pas de bloquer, ni de rejeter en bloc. Il s’agit d’alerter. De dire stop. De poser la question : peut-on encore faire autrement ?
La ZTL, telle qu’elle arrive, n’est pas un projet de société. C’est un symbole de rupture. Elle incarne une certaine idée de la ville sans friction, sans automobile, sans bruit, sans liberté. Mais aussi, de plus en plus, sans âme.
Car une ville, ce ne sont pas que des lignes sur un plan. Ce sont des vies qui s’entrelacent. Des enfants qu’on accompagne à l’école. Des livraisons à faire. Des commerces à tenir. Des souvenirs qui s’ancrent.
Une ville, ce sont des usages. Des attaches. Des libertés.
Et Lyon mérite une autre histoire que celle qu’on lui impose aujourd’hui.
Par Alexandra Carraz-Ceselli,
Professionnelle des médias et des politiques publiques, Fondatrice de L’Équipe des Lyonnes et du Lab’ des idées publiques
Tout à fait d'accord avec Alexandra .La presqu'île va mourir de ces travaux incessants et fermer la presqu'île aussi brutalement c'est faire mourir le commerce de proximité et mettre en péril des milliers d'emplois! Une ville sans âme. Merci Alexandra vous avez résumé en quelques lignes ce mal être des lyonnais!
Signaler RépondreParce que l’ont vie dans une société ultra-libérale ou tout est payant . Les places de parkings payantes, les péages routiers, les transports publics, les verbalisations abusives, les radars rentiers, etc… moi qui est connu une époque où il était permis de vivre sereinement sans être racketté par la voyoucratie politicienne de tous les les partis politiques qui en Fait sont là pour diviser et mieux régner avec toujours les mêmes milliardaires et millionnaires pour nous gouverner…
Signaler RépondrePourquoi cette création de zone piétonne mais alors pourquoi ne pas faire la gratuité des transports en Commun ?
Signaler RépondreDes rues vides ?
Signaler RépondreC'est une blague ?
Comment peut-on en 2025 défendre encore le mode de vie "mammifères à roulettes" (voiture / caddie / fauteuil roulant) que nous ont imposé les années 60 ?
La nostalgie de sa propre jeunesse, ça se comprend, on est tous un peu comme ça.
Mais c'est après votre passé que vous courez, laissez la société tranquille.
RDV en 2026. Mais soyez sûr d’une chose,aucun maire ne reviendra sur ce qui a été fait,même le footeux!
Signaler RépondreVous allez finir vos jours avec ces odieux cyclistes qui vous empêchent de polluer.
La blague de l'année !
Signaler RépondreInterdire des infrastructures pour se déplacer sans polluer...
Difficile à justifier dans le contexte actuel de saturation routière et de réchauffement climatique!
Remarquez, les abrutis du RN viennent bien de réussir à faire voter un moratoire sur les énergies renouvelables: on n'est plus à une absurdité près !
C'est beau, la méthode Coué ! Il va y avoir bientôt pas mal de rats pour quitter le navire, en serez-vous ?
Signaler RépondreBien au contraire!cette politique commence à être victime de son succès!à certaines heures,il devient difficile à certains endroits de circuler à vélo.Il faut augmenter le nombre de pistes cyclables et surtout les élargir.
Signaler RépondreAh voilà qu'ils se dévoilent!les antivax de retour!on avait les climatosceptiques,on attend donc les créationnistes,platistes et consorts!
Signaler RépondreDoucet sera réélu sans aucun problème!
Signaler RépondreDésolé pour vous.
Que de proses ''argumentées '' , on y croirait presque quand est évoqué avec nostalgie la vie des Lyonnais. Mais ce système a fait ces preuves ailleurs en France et en Europe et la vie des gens et même des acteurs des ztl a été grandement améliorée. Ce qui vous dérange c est le changement,
Signaler RépondreLes travaux actuels sont réalisés pour fermer la presqu'île, les travaux terminés la situation sera la même que des travaux perpétuels qui entravent la circulation (valable pour d'autres quartiers dans d'autres arrondissements).
Signaler RépondreZTL?z'écoute RTL.La 4L électrique,une solution?la confiance faites aux élus(es) en a prise un coup dans" L".
Signaler RépondreCela fait bien longtemps que les rues de Lyon sont vendues aux multinationales, bien avant la mairie en place. C'est bien plus une question de loyer que de désertion du centre ville. Peut être même que les travaux en cour terminés, les gens se reappropriront plus volontierement le centre ville.
Signaler RépondreNe mélangeons pas tout.
Un peu désolant que LM laisse passer des réponses de 15 KMde long et censure des réponses non agressives, courtes et relativement objectives
Signaler RépondreLa ZTL est une excellente mesure pour tous.
Signaler RépondreNe vous en faites pas, quand le temps du bilan sera venu, nous saurons nous rappeler de Gregory Doucet, et nous n'oublierons pas de lui faire payer au dernier cents ce qui aura été perdu. Ce n'est pas un maire, c'est un fossoyeur sur l'autel de la bien pensance
Signaler RépondreBen ouais, mais déjà en 2020 il aurait fallu que tous ces commerçants au lieu de jouer à la police sanitaire refuse cette mascarade covidienne. Ils ont refusé l'accès à leurs boutiques aux non-piqués. On ne les a pas vus protester contre cet apartheid....C'était le début de la tyrannie. Maintenant ils en sont victimes. Chacun son tour ! De toute façon la république française est l'ennemie des français.
Signaler RépondrePlusieurs commerces ont fermé sur les Gratte-Ciel et les chiffres d'affaire sont en baisse et fortement pour les commerces qui dépendaient des flux / passages sur Henri Barbusse. J'attends de voir dans quelques années quand la ZAC Gratte-Ciel nord sera livrée si le quartier retrouve le dynamisme qu'il avait avant...
Signaler RépondreLe vélo est en plein essor.
Signaler RépondreC'est surtout les routes à bagnoles qu'il faudrait arrêter de financer
Il serait bien de proposer un projet d'interdiction de construction de nouvelles voies, couloirs ou pistes cyclables au conseil dans l'agglomération et à l'Assemblée au niveau national?
Signaler RépondreJ'ai lu récemment le témoignage d'un commerçant de Gratte-ciel, qui racontait avoir été en première ligne parmi les plus farouches opposants à la piétonisation de d'une partie du quartier, et qui confessait volontiers s'être lourdement trompé sur l'analyse qu'il faisait à l'époque, quand il voit maintenant le résultat Avnue Barbusse.
Signaler RépondreJe ne sais plus si c'était dans la Tribune de Lyon ou sur le magazine d'infos de Villeurbanne (vous allez sans doute me dire que le témoignage était sans doute orienté), et je ne me rappelle plus de l'identité de cette personne, mais c'était à visage découvert en tout cas. Evidemment que la rue Paul Verlaine est en ce moment pétrifiée et même sinistrée, mais dans 8 mois, quand le tram y passera, vous verrez à quel point ca changera en bien la physionomie du quartier, et à quel point les commercants reviendront !
C'est une évidence, car ca a été le cas PARTOUT ou ce genre de travaux a été effectué, en France ou ailleurs, ZTL, piétonisation ou passage de transports en commun. Il suffit d'ouvrir les yeux et d'arrêter de ne penser qu'aux difficultés immédiates.
Lyon a tout simplement 30 ans de retard sur les autres grandes villes françaises et européennes !
Signaler RépondreLes pourfendeurs de la ZTL comme cette dame issue de la bourgeoisie de l'Ouest lyonnais ont pourtant dû bien voyager et ont dû constater que le commerce n'était pas mort, loin de là, dans les ZTL de Turin, de Milan, de Bologne, dans les aires piétonnes de Strasbourg, de Rennes, de Lille, de Bordeaux, de Nice, de Montpellier, d'Oslo, de Dublin, de Barcelone, de Londres, etc.
Ce qu'ils défendent avec malhonnêteté, ce n'est pas le commerce qui continuera à vivre, c'est leur petit confort individuel qui consiste à descendre de leurs collines le samedi en voiture, en espérant ne pas bouchonner et se garer devant leur boutique du Carré d'Or.
Pourquoi ce qui est possible ailleurs serait un désastre à Lyon? Dans un centre-ville accessible en métro depuis l'ouest, le nord et l'est, en train, et entouré de 10 000 places de parking souterrain ?!?!?
Que de mauvaise fois dans ces tribunes larmoyantes !
Vous affirmer : "Les commercants de Villeurbanne ont aussi protesté contre la piétonisation du (petit) centre-ville, avant de regretter aujourd'hui leur dogmatisme de l'époque."
Signaler RépondreMerci de donner vos sources car cela ne va pas dans le sens de ce qui ce que j'entends quand je discute avec les commerçants de l'avenue Henri Barbusse ou rue Paul Verlaine notamment.
Je ne commente pas les aménagements de ton patelin, donc tes avis sur la Ville de Lyon, on s'en fout en fait. Les Lyonnais ont voté que ça te plaise ou non.
Signaler RépondreLa plus belle ville de France ? Cest une plaisanterie, ou du chauvinisme outrancier.
Signaler RépondreVoies avez bien raison d’écrire que les 2 gourous Doucet et Bernard se déplacent en voiture de fonction et non pas en vélo sauf pour la photo dans les médias. C’est pour ça qu’on les appelle les escrologistes.
Signaler RépondreTout à fait!j’ai le même exemple à Oslo.La bas la ZTL c’est TOUTE la ville!Seuls les véhicules électriques y sont tolérés dans certaines zones.Il y a dix ans quand cette pietonnisation s’est mise en place,ça été la même opposition chez les commerçants.Personne ne voudrait revenir en arrière désormais.
Signaler RépondreTrop de voitures en ville, c'est simple : ça pollue, ça fait du bruit, et ça n'apporte rien de bon. Regardez autour de nous ! Des villes comme Pontevedra ou Barcelone en Espagne, ou Bologne et Venise en Italie, ont prouvé qu'on peut faire autrement. Elles ont fortement réduit la place de la voiture, et le résultat est là : plus d'air frais, des rues plus agréables pour les piétons et les vélos, et même un coup de pouce aux commerces de quartier.
Signaler RépondreQuand on voit ça, et sachant que Lyon est déjà traversée par des autoroutes, il est juste de se demander pourquoi on continue à privilégier la voiture en ville. Peut-être que ceux qui s'y opposent n'ont pas encore mesuré à quel point une ville apaisée est meilleure pour tout le monde, et pour l'environnement. (je tiens à signaler que je ne suis pas une électrice verte ou affilié à un parti, ni même un robot ou autre)
Cet argumentaire est dogmatique et surtout dénué de fondement.
Signaler RépondreJ'ai une forte connexion avec l'Italie, et il suffit de se rendre dans ce pays pour se rendre compte que toutes les grandes villes (et mêmes les petites en zones touristiques très fréquentées) ont une ZTL. Et ca n'affecte en rien le dynamisme commercial des centre-villes italiens.
De tous temps, les commercants des villes francaises ont protesté contre les travaux d'aménagement de trams, les fermetures de voies de circulation, etc..., avant de se rendre compte qu'en fait, l'apaisement de ces rues a au contraire un effet positif sur le commerce, car cela attire plus de piétons et cyclistes.
J'ai vécu ca à Strasbourg ou j'étais étudiant, dans les années 90, quand la mairie avait courageusement modifié tout le plan de circulation du centre-ville au bénéfice des toutes remières lignes de tram, qui faisait alors son grand retour dans une ville de France, après des décennies de tout-bagnole. Qui oserait s'en plaindre aujourd'hui ?
Les commercants de Villeurbanne ont aussi protesté contre la piétonisation du (petit) centre-ville, avant de regretter aujourd'hui leur dogmatisme de l'époque...
Oui, c'est la marche des choses, le règne absolutiste de la voiture en ville, c'est derrière nous, à l'exception du transit privé et des professionnels qui auront toujours le droit d'y venir.
Dans 5 ans personne n'aura envie de revenir en arrière, même JM Aulas s'il est élu, ce que je ne souhaite pas pour Lyon! Diriger un club de foot, c'est une chose, diriger une ville d'un demi-million d'habitants, c'en est une autre, et protester contre les travaux ne fait pas un programme....
Et donc, ne doutant pas que vous soyiez un apôtre de l’inclusivité, nous noterons, comme d’habitude votre amertume ( haine) et surtout votre distinction entre les vrais Lyonnais et les faux Lyonnais .
Signaler RépondreVenant de votre bord traitant quiconque s’opposant à ses idées de facho, votre intégrisme soi disant en faveur des « vrais Lyonnais » tient de la schyzophrénie.
Un vrai petit Pol-pot….
Quelle horreur ! Que c'est mal écrit ! Elle pleurniche (inutilement) tout le long sans rien proposer. Sauf "une ville, c'est des enfants qu’on accompagne à l’école". Bah tant mieux, il y a pas besoin de voiture pour ça, les vrais Lyonnais le savent mieux qu'elle.
Signaler RépondreHé bien dans ce cas-là, pourquoi Doucet a voulu mettre son véto pour l'ouverture du Village Outlet s'il avait tant peur que ça ? https://www.lyonmag.com/article/142523/ouverture-de-the-village-le-dimanche-gregory-doucet-dit-non
Signaler RépondreJE VALIDE, les périurbains nous font chier.
Signaler RépondreDéménage le long du périph. Tu auras des voies rapides, des commerces et des parkings géants.
Signaler RépondreC'est ton rêve, fais le vite, tu seras enfin heureux.
J’habite à Bellecour. Merci à Alexandra Carraz-Ceselli pour cet article qui exprime très clairement ce que je ressens et que je n’arrive pas à expliquer. Je partage à 200% toute son analyse sur ce que devient Lyon.
Signaler RépondreLyon a sa réserve indienne ; les touristes viendront étudier les gens qui y vivent en autarcie...
Signaler RépondreJ'habite à Saint Cyr,et de retourne frequemment en ville que j'avais désertée.Parc relais à Vaise (parce que malheureusement le 20 fait la queue avec les voitures le matin)et métro,rapide,économique.
Signaler RépondreOn verra bien,mais quel que soit le futur maire,il n''y aura jamais de retour en arrière sur les restrictions de circulation!vous croyez que les commerçants de la rue Grenette,de la rue de l'Ancienne Préfecture,de la rue Emile Zola etc,vont accepter de revoir les voitures envahir ces rues,gêner la déambulation et donc le commerce,faire du bruit,et surtout envahir leurs boutiques de gaz toxiques?
Signaler RépondreBen ....Si!!Juste de la statistique!
Signaler RépondreParmi les 36 membres du gouvernement, 22 sont millionnaires.
Signaler Répondrehttps://placement.meilleurtaux.com/placement-financier/actualites/2025-juin/ministres-millionnaires-leurs-placements-sous-la-loupe.html
avec les ecolos vous l avez bien profond !!! on vous l’a dit et répété !!!! c est de la m….. vous en avez la preuve 🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣
Signaler Répondreun seul commentaire : bravo ! en attendant que Doucet et ses sbires soient expulsés
Signaler RépondreLes militants écologistes impriment leur marque depuis 5 ans en clivant, opposant les citoyens sans volonté de compromis ni de véritable écoute ni réel sens du dialogue : ils sont là pour imposer leurs dogmes de façon brutale : appliquer leur politique comme ils disent...mais ce sont des militants avant d'être des responsables politiques, c'est le problème depuis 2020...
Signaler RépondreC'est une imitation des fanatiques haineux qui se disent écolos alors qu'ils ne sont rien d'autre que des sectaires méprisants et intolérants ?
Signaler RépondreLaissez-moi deviner: vous ne travaillez en aucun cas à un poste productif vous.
Signaler RépondreJe sais, c'est difficile d'avoir trois neurones et d'essayer de sortir des phrases (presque) bien formées.
Dur aussi de se croire révolutionnaire alors que sa vie repose sur le travail des pauvres de Chine ou autre pays-usine. Pays auxquels vous tendrez le bras non pas pour les aider mais pour demander de l'aide grâce à la politique que votre héros et ses copains appliquent à la France.
Nous autres, les "crasseux" vous laisserons avec vos livreurs épicés à qui vous n'avez pas encore appris le progressisme. Nous rebondirons, nous irons produire ailleurs, vous laissant dans votre paradis "apaisé" mais bientôt perdu.
Ils seront réélus, point barre. Et ce n'est pas Papy la Magouille qui changera quoi que ce soit.
Signaler RépondreMerci pour ce bel article qui ose dire la réalité.
Signaler RépondreAu regard des commentaires, on voit qu'à présent les lyonnais sont complètement opposés : ceux qui acclament et ceux qui ne supportent plus.
La ville perd de son humanité et ses habitants se déchirent : Merci l'utopie !
pas lu + on s'en fout, les bagnolards on vous hait disparaissez de lyon vous êtes un cancer.
Signaler RépondreDehors les dictateurs faussement ecolo
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