Budget 2026 : une "gifle austéritaire" de la part de François Bayrou selon la députée Sandrine Runel

renvoyons la donc à ses cheres etudes: a écrit le 18/07/2025 à 15h31

la renovation de ses galetas qu elle loue façon marchande de sommeil...

ferait elle bien mieux à leur place?? a écrit le 18/07/2025 à 11h40

c est facile de beler avec les autres quand on est dans l opposition....mais a t elle des bonnes solutions?a t elle meme des solutions?

pie69 a écrit le 17/07/2025 à 19h18

Solution plus simple : stop aux prestations sociales.
Au boulot ! Et le boulot il y en a !!!!

Socrate69 a écrit le 17/07/2025 à 08h43

Doit on payer encore des Impôts pour le bilan actuel c'est là la vraie question à se poser.

Il y a une multitude de "rupture d'Egalité" ... la fameuse Egalité prônée par nos chers socialistes. Déjà pour avoir connu la fonction publique et avoir de nombreux amis fonctionnaires avec qui j'en discute régulièrement une rupture nette et précise entre employés du secteur privé et fonctionnaires.

Puis tout le champ des "aides", la France qui est en faillite doit elle accueillir toute la misère humaine du Monde? NON.
Limiter toutes les aides sociales aux ressortissants du pays et arrêter de distribuer l'argent public aux autres (plus de RSA, plus de minimum vieillesse aux vieux étrangers, plus d'allocations familiales etc etc). Conditionner aussi les aides à l'attitude "civique" des personnes, donc en effet les parents de délinquants sauvages doivent être exclus de toutes les aides (HLM, allocations etc).

Notre "modèle social" n'a jamais été paramétré pour prendre en charge ses lourdes dépenses et forcément il implose.
Ce n'est pas le régime social qui est problématique mais tout ce qui a été ajouté au fils des ans qui le font craquer (quand on étend à l'infini l'assiette aux extra-européens sans pour autant avoir des "entrées" nouvelles forcément cela craque c'est un simple constat économique).
Et cela craque de partout car tous les secteurs sont touchés en particulier les Hôpitaux.

Vous entendez nos "progressistes" macroniens, centristes, certains LR qui disent vouloir réduire le "modèle social" mais s'en réellement poser la question de ceux qui peuvent bénéficier ce modèle et donc sortir ceux qui ne doivent pas en bénéficier... c'est donc ce qu'on appelle des "faux culs".

Donc la vraie question à se poser. Quand on a des "castes privilégiées" qui vivent d'argent public et n'écoute pas les volontés du "Peuple Souverain" ce même Peuple doit il continuer à accepter l'Impôt? Normalement une Démocratie c'est un accord entre un Pouvoir et son Peuple: je paye mes impôts mais toi l'Etat tu me protèges, tu me soignes, tu fais en sorte que mes enfants soient instruis etc etc Cet accord n'est plus valable car l'Etat ne joue plus son rôle. Donc quel est alors la signification de l'Impôt ?

De toute façon on va rapidement atteindre le fond du trou ... et c'est les gens "normaux" qui seront touchés car ses "castes de privilégiés" s'auto-protégeront.

Delirium a écrit le 17/07/2025 à 07h47

Magnifique profession de foi d'un petit fonctionnaire protégé , aigri, qui n'a jamais rien fait d'utlie dans sa vie et qui envie la réussite des autres
Texte rédigé bien sûr avec l'aide d' une IA. Vas y pépère , crée ta boîte , enrichis toi et distribue tout ce que tu gagnes ,applique tes concepts ça sera un bel exemple à suivre de socialisme positif alors qu'a ce jour, il n'a crée que misère ,douleur et désespoir partout où il s'est essayé
Mais pour ça ; il faut bosser et avoir du courage

‎ FrClaude‎ ‎ a écrit le 16/07/2025 à 09h51

Il faut cesser de tourner autour du pot : la richesse indécente se cache partout, y compris dans les zones dites "moyennes". Le seuil de la décence fiscale n’est pas là où le MEDEF le place, mais là où commence l’accumulation superflue. Il faut avoir le courage de le dire : à partir de 2500 euros par mois, dans un pays où des millions de gens vivent avec moins de 1200, on ne parle plus d’effort mais de privilège. Et dès 3000, ce n’est plus une classe moyenne — c’est une bourgeoisie qui s’ignore.
La République doit passer à la caisse. Et faire rendre gorge à ceux qui se sont engraissés sur la misère des autres. Les patrons parasites, les rentiers, les propriétaires multipropriétaires, les actionnaires gavés de dividendes… mais aussi tous ceux qui prétendent appartenir au peuple alors qu’ils vivent confortablement au-dessus de la mêlée, à l’abri des fins de mois et des choix impossibles entre chauffage, bouffe et soins.
Alors oui, il faut taxer. Massivement. Brutalement s’il le faut. Non pas par vengeance, mais par nécessité. Parce que la solidarité ne se mendie pas, elle s’impose. Ceux qui gagnent 3000 euros, 4000, 10 000 et plus, doivent cesser de croire qu’ils ont mérité chaque centime dans un monde fondé sur l’héritage, les réseaux et l’exploitation.
On n’a pas besoin de millionnaires. On a besoin d’infirmiers, d’instituteurs, de cheminots, de travailleurs agricoles. Ceux qui font tourner le pays sont ceux qu’on épuise, qu’on méprise, qu’on surveille. Pas ceux qu’on subventionne via des niches fiscales pendant qu’ils spéculent sur la pierre ou les actions.
Et que les pleurnicheurs s’étranglent : oui, nous voulons saigner à blanc les revenus de rente, les bénéfices du capital, les patrimoines excessifs, les fortunes cachées et même les conforts qu’on ne veut pas nommer bourgeois. Car pendant que l’État taille dans les services publics, que les hôpitaux ferment, que l’école s’effondre, eux prospèrent — discrets, arrogants, protégés.
Il ne s’agit pas de punir la réussite, mais de couper court à l’indécence. De rétablir l’ordre républicain. Celui dans lequel l’intérêt général prime sur l’enrichissement personnel, où personne ne peut s’élever trop au-dessus des autres sans retomber sous le poids de sa contribution à la collectivité.
Bref, faire rendre gorge à la finance, c’est aussi faire cracher les privilégiés, les faux innocents du confort, les gentils gestionnaires de patrimoine. Ceux qui croient que la justice fiscale commence avec les milliardaires et s’arrête à leur seuil.
Avec la planification écologique, la révolution sociale et la souveraineté populaire, il faudra que l’argent serve enfin le peuple et non l’inverse. À partir de 2500 euros, on ne doit plus parler de "charge", mais de responsabilité. Et à 3000 euros et au-delà, on paie pour la République — ou on n’a rien à y faire.

Rlb a écrit le 16/07/2025 à 18h00

Toujours le même son de cloche (,deux fois) maintenant le PS rejoint les extrêmes arrêtez de nous berner en parlant des retraités et des travailleurs, lafrance d'en bas n'attend rien de ces partis toujours dans la contestation.
Le PS est tombé bien bas

La Meute a écrit le 17/07/2025 à 03h19

Et s'il n'y avait QUE le CESE...

oui-oui a écrit le 16/07/2025 à 14h22

DES ÉCONOMIES A FAIRE ?
.
CESE

Le budget du CESE ( Conseil Economique Social et Environnemental ) est de l' ordre de 46 millions d' euros. ( cf. annexe 1 ).
On peut sur le site du CESE compter le nombre d 'avis adoptés pour 2022 soit 22 ( cf. annexe 2 ).

Le prix d' un avis s' obtient par une simple division.
Il est d' un peu plus de 2 millions. .

annexe 1
https://www.lecese.fr/decouvrir-cese/budget-du-cese#:~:text=En%202023%2C%20il%20repr%C3%A9sente%2045,de%2046%2C8%20M%E2%82%AC.

annexe 2
https://www.lecese.fr/travaux-du-cese/travaux-publies?page=1

complément : https://www.bfmtv.com/economie/economie-social/france/2-500-euros-net-pour-quatre-jours-de-travail-par-mois-un-rapport-parlementaire-etrille-le-cese-et-ses-publications-peu-nombreuses_AD-202507020500.html

PS 69 a écrit le 16/07/2025 à 10h01

ça alors après 30 ans de socialisme étatique la gauche allume des contre feux pour masquer leur médiocrité de gestionnaire. mais cette idéologie gauchiste et verdâtre avec leurs syndicats et leurs associations en courroie de transmission ont flingué le pays.
attention le RN n est pas économiquement libérale son logiciel est plutôt etatiste malheureusement.
honte à cette gauche dépensière, jalouse de la réussite, clientelliste . une gauche innommable

jamais joué au PMU a écrit le 16/07/2025 à 18h13

Crois ce que tu veux , mon grand .
jamais dit que les français dont je fais , par ailleurs , partie ne foutaient rien.
C 'est toi qui oppose les uns et les autres , mais ouvre un peu les yeux . Regarde qui vide tes poubelles , est cuistot dans les cuisines ,nettoie ta mère en ephad .

informaticien au PMU? a écrit le 16/07/2025 à 09h27

Bien sur, il y a que des étrangers qui bossent en France!
Les Français ne font rien!
Sacré comique!
Au fait tu regardes toujours France info, France 5?

gauche et droiche a écrit le 16/07/2025 à 09h46

la gauche , ses 35h et ses dépenses sociales clientellistes , la droiche qui essaiede récupérer des indécis de gauche. tous ces députés qui ont voté des dépenses sont responsables
ces français habitués à moins travailler ont aussi une responsabilité.
Le seul qui veux changer profondémentles choses a ce jour semble être David Lisnard qui propose une sorte de révolution politique et économique.
malheureusement pas assez connu du grand public.

mine a écrit le 16/07/2025 à 15h46

Des économies possibles ?
Des milliards pour les associations.

https://www.ifrap.org/budget-et-fiscalite/plus-de-23-milliards-de-subventions-publiques-aux-associations-par-et-quasi-pas-de-controle

Wat a écrit le 16/07/2025 à 08h09

Il faut baisser les retraites géantes des boomers et rendre aux actifs le fruit de leur travail.

mine a écrit le 16/07/2025 à 15h46

Des économies possibles ?
Des milliards pour les associations.

https://www.ifrap.org/budget-et-fiscalite/plus-de-23-milliards-de-subventions-publiques-aux-associations-par-et-quasi-pas-de-controle

Talbazar a écrit le 16/07/2025 à 12h02

Vu la longueur de leurs posts je m'interroge : @FrClaude et CRousso sont ils en couple ?

112 a écrit le 16/07/2025 à 13h25

Taxer les gens proportionnellement à leur gains n'a rien URSS. C'est simplement une question de bon sens car ils profitent aussi des avantages sociaux.
Quand t'on voit le nombre de milliardaires en France ce n'est pas 2 % d'impôt en + qui vont les mètrent à genoux.
Vous n'êtes pas pour la démocratie mais pour le dictature du fric quoi qu'il en coûte. Honte à vous.

Wat a écrit le 16/07/2025 à 08h09

Il faut baisser les retraites géantes des boomers et rendre aux actifs le fruit de leur travail.

112 a écrit le 16/07/2025 à 13h25

Taxer les gens proportionnellement à leur gains n'a rien URSS. C'est simplement une question de bon sens car ils profitent aussi des avantages sociaux.
Quand t'on voit le nombre de milliardaires en France ce n'est pas 2 % d'impôt en + qui vont les mètrent à genoux.
Vous n'êtes pas pour la démocratie mais pour le dictature du fric quoi qu'il en coûte. Honte à vous.

La Meute a écrit le 16/07/2025 à 12h58

Forcément quand on profite de l'argent des français, on n'a pas envie que le robinet s'arrête, même un tout tout tout petit peu.

supporter OL a écrit le 16/07/2025 à 13h52

Taxons Aulas, sa porsche Cayenne et sa maison de 200 m²

So what… a écrit le 16/07/2025 à 11h09

Quand tu auras bossé comme les boomers à savior 40h/semaines et plus et 65 ans tu pourras la ramener…..

Rotschildine a écrit le 16/07/2025 à 10h12

Quel discours digne de l'URSS. Le nivellement part le bas est tellement plus facile !

‎ FrClaude‎ ‎ a écrit le 16/07/2025 à 09h51

Il faut cesser de tourner autour du pot : la richesse indécente se cache partout, y compris dans les zones dites "moyennes". Le seuil de la décence fiscale n’est pas là où le MEDEF le place, mais là où commence l’accumulation superflue. Il faut avoir le courage de le dire : à partir de 2500 euros par mois, dans un pays où des millions de gens vivent avec moins de 1200, on ne parle plus d’effort mais de privilège. Et dès 3000, ce n’est plus une classe moyenne — c’est une bourgeoisie qui s’ignore.
La République doit passer à la caisse. Et faire rendre gorge à ceux qui se sont engraissés sur la misère des autres. Les patrons parasites, les rentiers, les propriétaires multipropriétaires, les actionnaires gavés de dividendes… mais aussi tous ceux qui prétendent appartenir au peuple alors qu’ils vivent confortablement au-dessus de la mêlée, à l’abri des fins de mois et des choix impossibles entre chauffage, bouffe et soins.
Alors oui, il faut taxer. Massivement. Brutalement s’il le faut. Non pas par vengeance, mais par nécessité. Parce que la solidarité ne se mendie pas, elle s’impose. Ceux qui gagnent 3000 euros, 4000, 10 000 et plus, doivent cesser de croire qu’ils ont mérité chaque centime dans un monde fondé sur l’héritage, les réseaux et l’exploitation.
On n’a pas besoin de millionnaires. On a besoin d’infirmiers, d’instituteurs, de cheminots, de travailleurs agricoles. Ceux qui font tourner le pays sont ceux qu’on épuise, qu’on méprise, qu’on surveille. Pas ceux qu’on subventionne via des niches fiscales pendant qu’ils spéculent sur la pierre ou les actions.
Et que les pleurnicheurs s’étranglent : oui, nous voulons saigner à blanc les revenus de rente, les bénéfices du capital, les patrimoines excessifs, les fortunes cachées et même les conforts qu’on ne veut pas nommer bourgeois. Car pendant que l’État taille dans les services publics, que les hôpitaux ferment, que l’école s’effondre, eux prospèrent — discrets, arrogants, protégés.
Il ne s’agit pas de punir la réussite, mais de couper court à l’indécence. De rétablir l’ordre républicain. Celui dans lequel l’intérêt général prime sur l’enrichissement personnel, où personne ne peut s’élever trop au-dessus des autres sans retomber sous le poids de sa contribution à la collectivité.
Bref, faire rendre gorge à la finance, c’est aussi faire cracher les privilégiés, les faux innocents du confort, les gentils gestionnaires de patrimoine. Ceux qui croient que la justice fiscale commence avec les milliardaires et s’arrête à leur seuil.
Avec la planification écologique, la révolution sociale et la souveraineté populaire, il faudra que l’argent serve enfin le peuple et non l’inverse. À partir de 2500 euros, on ne doit plus parler de "charge", mais de responsabilité. Et à 3000 euros et au-delà, on paie pour la République — ou on n’a rien à y faire.

Rotschildine a écrit le 16/07/2025 à 10h12

Quel discours digne de l'URSS. Le nivellement part le bas est tellement plus facile !

oui-oui a écrit le 16/07/2025 à 11h55

Nous avons les impôts les plus lourds. Nous ne cessons d' emprunter des sommes faramineuses sur les marchés financiers internationaux.
Où passe l' argent ? Qui sont les voleurs ?

Wat a écrit le 16/07/2025 à 08h09

Il faut baisser les retraites géantes des boomers et rendre aux actifs le fruit de leur travail.

Retraites "monstrueuses" a écrit le 16/07/2025 à 09h16

L'expression "retraites géantes" me parait quelque peu exagérée (en tout cas, manifestement pas pour tout le monde!?).

‎ FrClaude‎ ‎ a écrit le 16/07/2025 à 09h51

Il faut cesser de tourner autour du pot : la richesse indécente se cache partout, y compris dans les zones dites "moyennes". Le seuil de la décence fiscale n’est pas là où le MEDEF le place, mais là où commence l’accumulation superflue. Il faut avoir le courage de le dire : à partir de 2500 euros par mois, dans un pays où des millions de gens vivent avec moins de 1200, on ne parle plus d’effort mais de privilège. Et dès 3000, ce n’est plus une classe moyenne — c’est une bourgeoisie qui s’ignore.
La République doit passer à la caisse. Et faire rendre gorge à ceux qui se sont engraissés sur la misère des autres. Les patrons parasites, les rentiers, les propriétaires multipropriétaires, les actionnaires gavés de dividendes… mais aussi tous ceux qui prétendent appartenir au peuple alors qu’ils vivent confortablement au-dessus de la mêlée, à l’abri des fins de mois et des choix impossibles entre chauffage, bouffe et soins.
Alors oui, il faut taxer. Massivement. Brutalement s’il le faut. Non pas par vengeance, mais par nécessité. Parce que la solidarité ne se mendie pas, elle s’impose. Ceux qui gagnent 3000 euros, 4000, 10 000 et plus, doivent cesser de croire qu’ils ont mérité chaque centime dans un monde fondé sur l’héritage, les réseaux et l’exploitation.
On n’a pas besoin de millionnaires. On a besoin d’infirmiers, d’instituteurs, de cheminots, de travailleurs agricoles. Ceux qui font tourner le pays sont ceux qu’on épuise, qu’on méprise, qu’on surveille. Pas ceux qu’on subventionne via des niches fiscales pendant qu’ils spéculent sur la pierre ou les actions.
Et que les pleurnicheurs s’étranglent : oui, nous voulons saigner à blanc les revenus de rente, les bénéfices du capital, les patrimoines excessifs, les fortunes cachées et même les conforts qu’on ne veut pas nommer bourgeois. Car pendant que l’État taille dans les services publics, que les hôpitaux ferment, que l’école s’effondre, eux prospèrent — discrets, arrogants, protégés.
Il ne s’agit pas de punir la réussite, mais de couper court à l’indécence. De rétablir l’ordre républicain. Celui dans lequel l’intérêt général prime sur l’enrichissement personnel, où personne ne peut s’élever trop au-dessus des autres sans retomber sous le poids de sa contribution à la collectivité.
Bref, faire rendre gorge à la finance, c’est aussi faire cracher les privilégiés, les faux innocents du confort, les gentils gestionnaires de patrimoine. Ceux qui croient que la justice fiscale commence avec les milliardaires et s’arrête à leur seuil.
Avec la planification écologique, la révolution sociale et la souveraineté populaire, il faudra que l’argent serve enfin le peuple et non l’inverse. À partir de 2500 euros, on ne doit plus parler de "charge", mais de responsabilité. Et à 3000 euros et au-delà, on paie pour la République — ou on n’a rien à y faire.

oui! a écrit le 16/07/2025 à 09h27

il faudrait commencer par taxer la multi propriété