La quasi-majorité des autres basketteurs, coachs et commentateurs ont salué son coming-out historique. Kobe Bryant, star absolue du basket, a déclaré sur Twitter qu'il était "fier" de Jason Collins. Michelle Obama, la première dame, a même évoqué "un immense pas en avant pour le pays".
Toujours sur le réseau social, Tony Parker, vice-président de l'ASVEL et meneur de San Antonio, s'est fait remarqué. Et pas de la meilleure des manières.
Si son tweet "J'espère que les gens vont respecter Jason Collins pour sa décision de faire son coming-out. Je suis heureux qu'il puisse se relaxer et de ne pas avoir peur d'être celui qu'il est" est plutôt bien formulé, il se trouve que Bruce Bowen, ancien basketteur, avait publié exactement le même une heure plus tôt.
Tony Parker avait donc probablement laissé un attaché de presse se fendre d'un communiqué qui a également été distribué à Bruce Bowen. Et si d'autres sportifs ont du suivre la même démarche, ils avaient au moins fait en sorte que cela ne se voit pas.
Mardi 30 Avril 2013 à 12h55
Le tweet-fail de Tony Parker sur le coming-out de Jason Collins
Tony Parker - LyonMag
Lundi, l'ancien basketteur de la NBA Jason Collins a été le premier sportif de haut niveau à révéler son homosexualité aux Etats-Unis.
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Tony Parker
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Moi je suis au chômage et j en ai rien a foutre des lubies des Socialistes. Je sais simplement qu un enfant a besoin d un père et d une mère. C est simple et on a rien fait de mieux depuis le début de l humanité.
Signaler RépondrePour les gender studies : il y a des bibliothèques, des conférences, des documentaires, des études, ...
Signaler RépondrePour en revenir à votre questions de départ?
"Je suis pour que tous les politiques, journalistes, haut-fonctionnaires, sondeurs, universitaires, Chefs d'entreprises,...fassent leur coming-out!
Pourquoi ont-ils honte de révéler leur identité de genre ?"
Vous parlez de coming-out (rapport à une orientation sexuelle) et ensuite d'identité de genre : Jason Collins dit qu'il est gay, c'est qu'il se sent du genre masculin, non?
Si je vous fais rire tant mieux et c'est bon pour la santé...
Signaler RépondreS'il vous plait Marie-Jeanne, expliquez nous...levez cette confusion...que même Agancinski commet!
Je vous fais marcher, et vous courez,
Signaler RépondreVous nous faites rire avec votre unique référence.
Pour en revenir au coming-out du basketteur.
Dans votre question, je pense quand même que vous confondez identité de genre et orientation sexuelle.
Depuis le temps que vous donnez votre avis je croyais que vous saviez ce qu'était "une identité de genre"! Tout s'explique!
Signaler RépondreAllez Marie-Jeanne, il n'est jamais trop tard pour se cultiver :
"Femmes entre sexe et genre" - Sylviane Agacinski - Jospin.
"Vous croyez savoir de qui il s'agit quand on parle des femmes. Erreur : le doute s'est installé depuis que Monique Wittig déclara que «les lesbiennes ne sont pas des femmes». Avec Judith Butler, la Queer theory regarde la distinction entre homme et femme comme l'expression d'une «binarité artificielle», construite par une «culture hétérosexuelle dominante». Il n'y a plus de sexes, rien qu'une prolifération de genres (gays, lesbiennes, trans-sexuels...), flottant au dessus de sexes disparus - à moins qu'ils ne deviennent les produits de techniques biomédicales.
Ce livre montre les impasses d'un tel discours.
Sylviane Agacinski rappelle la dissymétrie des corps sexués, c'est-à-dire vivants, mais enrôlés dans des institutions, une culture et une histoire. Elle décrit les formes spécifiques de la servitude des femmes, qu'elles soient anciennes (la famille), modernes (le marché biologique des cellules et des organes), ou les deux à la fois (la prostitution).
Pour Sylviane Agacinski, «femme» et «homme», en tant que genres, sont des catégories impersonnelles. En tant que personne, «je» ne suis ni un sexe ni un genre. Le sexe est moins un facteur d'identité que d'altérité."
http://www.franceculture.fr/oeuvre-femmes-entre-sexe-et-genre-de-sylviane-agacinski
Arrêtez votre char Michael,
Signaler RépondreC'est comme si je disais la culture et la propagande hétero à longueur de journée, ça suffit.
Tout le monde a chanté des chansons enfants sans savoir ce qu'elle voulait dire.
Quelques chansons pour la route :
Annie aime les sucettes à l'anis..., Lucy In the Sky with Diamonds
En tout cas, au vu de vos références, on comprend mieux votre ignorance face aux familles homoparentales.
Comment faire autrement quand la "Culture et la Propagande LGBT" a imposé sa dictature partout!
Signaler Répondre"Relax don't do it When you want to suck it to it" voilà ce qu'on a fait chanter à la jeunesse qui ne savait pas toujours ce que cela voulait dire!
Maintenant les socialistes ont décidés que ce n'était pas suffisant, ils vont endctriner les enfants dès 6 ans!
Vous connaissez vos classiques, michael
Signaler RépondreC'est quoi une identité de genre?
"Pourquoi les gens qui s'aiment
Sont-ils toujours un peu les mêmes"
RELAX Marie-Jeanne
Signaler Répondre"...do it when you want to come"...
A la question n°1 : qu'est ce qu'une identité de genre?
Signaler RépondreA la question n°2 et n°3 : à cause de l'homophobie ambiante et latente dont certains profitent allègrement.
A la question n°4 : Mais bien sûr !!! Qu'est ce qu'on se marre.
RELAX Tony!
Signaler RépondreJe suis pour que tous les politiques, journalistes, haut-fonctionnaires, sondeurs, universitaires, Chefs d'entreprises,...fassent leur coming-out!
Pourquoi ont-ils honte de révéler leur identité de genre ? De quoi ont-ils peur? de la transparence ? Que les français comprennent pourquoi Hollande a donné la priiorité aux gays et aux lesbiennes?