Arrivé à mi-mandat à la tête de LPA, Louis Pelaez a tenté de dresser un premier bilan de son action. "C'est un bilan plutôt positif. Quand je suis arrivé à Lyon parc auto, l'entreprise avait besoin d'être un peu reboostée. Fondée en 1969, elle avait besoin d'être un peu relancée sur un certain nombre de dossiers, notamment sur l'innovation. Et je suis fier que cela ait pas mal avancé sur ces questions-là", a expliqué ce dernier.
Louis Pelaez est également revenu sur le chantier du parking du quai Saint-Antoine dans le 2e arrondissement de Lyon, qui a pris plusieurs années de retard. "Je confirme la prévision que j'ai donnée : le parc ouvrira en septembre 2019. On a presque cinq ans de retard mais cela est principalement lié à tout un tas de recours qui ont été excessivement longs et compliqués. Cela a eu pour conséquence que le chantier, qui n'a en lui-même pas forcément beaucoup de retard, a pris du retard au lancement. Il y a aussi eu quelques problèmes techniques. Mais ça, tout le monde le savait, puisque faire un parking à cet endroit-là c'était forcément prendre des risques. (…) Nous avons fini la première tranche du chantier côté immeuble où la circulation va pouvoir reprendre", a détaillé Louis Pelaez. Et d'ajouter que les retards devraient coûter "entre 3 et 4 millions d'euros qui seront payé par LPA."
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Salut, Marco, C'est quoi ton "niveau professionnel" ?
Signaler RépondreParce qu'au mien (mobilité et numérique), toutes les innovations en question ont été lancées depuis de nombreuses années (sauf les 8 scooters électriques…)
pour le parking saint antoine, il était temps. Pour LPA, c'est un sacré changement avec l'arrivée de ce nouveau patron, je vois à mon niveau professionnel, le changement, ça bouge les lignes, ça transforme, ça innove, ça ose. Dans mon secteur de la mobilité et de la connectique, LPA est redevenu incontournable. Et bravo pour Yea, c'est génial
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