Le groupe Serfim, historiquement actif dans le secteur des travaux publics, développe également son activité dans les nouvelles technologies. Une stratégie assumée par Guy Mathiolon. "L'essentiel du chiffre d'affaires de notre groupe se fait encore dans les travaux publics. Mais il faut suivre les évolutions de notre société et du monde économique. Et c'est vrai que les TP nous on permis de nous diversifier. Vous savez, entre la dépollution et les travaux publics, il n'y a pas une distance extrêmement forte. Et puis, quand vous posez des câbles, vous finissez par vous poser la question de savoir à quoi ils servent", explique notamment le PDG de Serfim.
"J'ai coutume de dire que nous sommes une start-up depuis notre création, en 1875, assure par ailleurs Guy Mathiolon. Pour moi, start-up est plus un état d'esprit qu'uniquement des gens qui fabriquent dans leur garage des choses un peu compliquées. Et cela nous conduit à nous intéresser à tout ce qui se passe dans le monde économique. Et aujourd'hui, effectivement, j'ai coutume de dire que nous sommes dans une période formidable, puisqu'entre tout ce que l'on est capable d'imaginer sur les énergies, les mobilités, les objets connectés… il y a un champ de développement pour mon groupe qui est extraordinaire."
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